Kpmg Algérie est le premier cabinet d'audit d'envergure internationale présent et actif en Algérie depuis dix ans. L'Algérie constitue actuellement le plus gros marché des nouvelles technologies de l'information et de la communication (Ntic) de l'espace euroméditerranéen. Un programme d'équipement considérable a été lancé pour ce seul secteur: 10 millions de lignes de télphone mobile, 3 millions de lignes fixes supplémentaires et environ 3 millions d'ordinateurs pour équiper établissements éducatifs, banques, collectivités, administrations et foyers. Pas moins de 50 milliards de DA sont consacrés à cet effet par l'Etat algérien dans le cadre du Programme complémentaire de soutien à la croissance (2005-2009) C'est ce que confirme une étude de Kpmg Algérie, premier cabinet d'audit et de conseil dans notre pays avec plus de 60 experts formés pour rassembler et commenter l'information disponible sur le marché algérien et ainsi aider les investisseurs potentiels à profiter pleinement de l'ouverture que connaît le pays. Ainsi et lors d'une entrevue de presse, récemment organisée par les soins de DjazRP, conseil en relations publiques, M.Jean-Marie Pinel, président-directeur général de Kpmg Algérie a confirmé à L'Expression que l'essor de l'application de l'informatique et de l'Internet en Algérie est considérable. D'autant que l'attrait pour les Ntic est un phénomène de société bien réel. Ajoutant qu'une étude de l'Union générale des télécoms a dénombré en 2000, près de 450.000 internautes en Algérie, avec près de 40.000 abonnés. De 10 sites en 1997, l'Algérie est passée à plus de 1500 sites, dont plus d'un millier sont en cours de réalisation. Le système d'autorisation pour l'ouverture de cybercafés, a quant à lui, été aboli en 2000, au profit d'un simple enregistrement. On comptait, fin 2002, plus de 3000 cyberespaces. Le ministère des Télécommunications ayant programmé la mise en place, dès 2003, d'une plate-forme pour 100.000 abonnements supplémentaires à Internet. Alors que sur le plan législatif et réglementaire, un décret a été promulgué en octobre 2000, autorisant et libéralisant l'exploitation des services Internet. L'étude révèle donc que les investisseurs étrangers, spécialisés dans le Net sont désormais autorisés à s'installer en Algérie via des société de droit algérien. Kpmg vient donc de mettre sur le marché l'édition 2007 de son guide «Investir en Algérie» où sont rassemblées dans cet ouvrage toutes ses connaissances actuelles et son savoir-faire en matière de modalités d'investissement applicables sur le marché national. En cela, explique-t-on, l'ouvrage de Kpmg constitue un outil de premier ordre pour aider à la décision, l'ensemble des communautés d'affaires algérienne et étrangère. «Les investisseurs potentiels ainsi que les entreprises déjà implantées en Algérie ont besoin d'une source d'information unique et fiable leur permettant de prendre des décisions éclairées; c'est pour cela que nous rééditons notre guide à toutes les années afin de coller au plus près à la réalité du marché algérien» explique M.Jean Marie Pinel qui a ajouté: «Nous sommes idéalement positionnés de par la combinaison unique entre notre savoir-faire international et notre connaissance du marché local.»