Depuis l'élimination de l'Equipe nationale algérienne de football du Mondial 2010 dont la finale se déroule ce dimanche en Afrique du Sud, l'entraîneur Rabah Saâdane a été dans toutes les bouches avec la même question qui revient sur toutes les lèvres: restera-t-il ou pas à la tête des Verts? Beaucoup d'encre a coulé sur les adjoints de Saâdane si celui-ci est maintenu et beaucoup ont donné les trois adjoints qui l'assisteront. Cependant, Rabah Saâdane avait confié à un de nos confrères qu'il ne «comptait nullement se séparer de ses adjoints qui ont effectué du bon travail et ce, depuis plusieurs années». Or, les observateurs insistent pour dire que le trio d'adjoints de Saâdane n'a été d'aucune utilité pour le coach national au vu de l'absence d'analyse critiques de leur part à même d'éclairer leur premier responsable à savoir, Saâdane en cas de mauvaise décision technique ou tactique de la part. Il est donc évident que Saâdane ferait confiance à ses adjoints et ne les lâcherait donc pas. Par contre, il a bien précisé qu'il faudrait un renforcement des autres staffs administratif et médical. Pour revenir au staff technique, s'il y aurait renforcement ce serait donc avec un coach bien connu et bien critique. Certains ont évoqué Benchikha, l'actuel coach national des A' alors que d'autres ont pensé à Moussa Saïb. Cependant, tout le monde semble oublier à titre d'exemple, Bouarrata, celui-là même qui était dans le staff de l'Equipe nationale algérienne sous le premier mandat du président Raouraoua. Alors, un rappel de l'enfant terrible de Constantine, n'est vraiment pas à écarter...