Il aura fallu une révolution agraire et la remasterisation du tube de légende “He mamiya tawra ziraïaa” que chantaient à tue-tête de croulants gauchistes des seventies pour penser enfin à changer les drains au vieux Palm-Beach. En réalité, il s'en est fallu de peu, sinon d'un ressac d'écumes blanches pour que le sourcier de la mairie de la ville côtière de Staoueli passe à côté du rivage. Mais, d'une part et s'il faut consentir du crédit à l'avis de la presse, les jours de l'ancestral conduit d'écoulement d'eau usée sont désormais comptés. Pour preuve, il requit un délai d'un mois pour opérer le lifting de l'égout. Foi de sourcier ! N. D.