J'ai été victime d'un acte de violence très grave. En 2004, j'ai surpris un homme dans la banlieue d'Alger (dans une forêt) vers 21h30 en train de prendre en otage une jeune fille de 18 ans sous la menace d'une arme pointée sur sa tête. Mon intervention a été efficace, car j'ai pu sauver la fille et saisir l'arme à feu que j'ai remise au procureur de la République du tribunal de Saïd Hamdine. Cet incident m'a causé un handicap (blessure grave et convalescence d'une longue durée sous traitement à ce jour). Une intervention chirurgicale est souhaitable par mon médecin traitant. En dépit de tout cela, mon dossier judiciaire est resté lettre morte au niveau de la justice qui n'a rien fait pour m'aider à régler mon problème. Il s'agit d'un conflit qui m'oppose aujourd'hui à la BNA de Baba Hssen. Dans le cadre de l'emploi de jeunes, cette banque m'a octroyé un prêt à moyen terme. Après avoir acheté le matériel sans fonds de roulement, j'ai négocié avec celle-ci. Après mon accident que je viens de raconter, je n'ai pas pu prendre attache avec le responsable de cette banque. Le responsable de cette dernière sans prendre en considération ma convalescence, qui m'a empêché de faire toute démarche administrative, a refusé de me recevoir et m'a humilié devant le public et m'a traduit devant le tribunal. J'ai déjà versé 250 000 DA. Vu ma maladie grave, je demeure aujourd'hui sans travail, donc incapable de rembourser le reste du prêt dans l'immédiat. Devant ce fait, je viens vous solliciter, monsieur le Président de la République, d'intervenir pour obtenir mes droits prévus par la loi et je souhaiterais que ma plainte soit prise en considération. Haddad Ahcène Rue Boudjemaâ-Khellil, Oued Roumane El Achour-Alger-