aïn defla la radio locale souffle sa première bougie Radio-Aïn-Defla qui émet sur 2 bandes FM vient de souffler sa première bougie. Une sympathique réception a été donnée par le wali en l'honneur de tous les travailleurs de la radio et de tous les journalistes et correspondants de la presse écrite dont la réception a été légèrement différée pour être fêté avec ceux de la radio. Ainsi, un dîner a été donné au niveau de la villa des hôtes de la wilaya en présence du wali, des autorités locales et de toute la corporation. Dans la soirée, un grandiose spectacle a été assuré par la célèbre troupe du Ballet national en live sur les ondes de Radio-Aïn-Defla. Différentes fresques régionales représentant l'Algérois, le Chaoui, le Kabyle, l'Oranais ont poussé l'assistance, composée en majorité de femmes et de familles, à pousser des youyous de joie et d'allégresse. Une soirée dont Aïn Defla se souviendra. Malheureusement, le doyen de la presse écrite, M. Hadji Mohamed, de la Nouvelle République, qui est dans le domaine de la presse depuis 1969, s'était perdu entre le siège de la wilaya et la maison de la Culture. Moha B. Draâ el-mizan LES ACQUEREURS DES 104 LOGEMENTS LSP DANS L'EXPECTATIVE “C'est un programme de 2001. Les 104 logements ont été lancés en 2005. On attend toujours les actes, en vain”, nous a déclaré un acquéreur dans le projet dit des “104 LSP” dont le promoteur est l'agence foncière. Pourtant, selon de nombreux acquéreurs, les délais de réalisation de ce projet sont arrêtés à 24 mois. Interrogé sur le retard pris pour la livraison des ces habitations, notre premier interlocuteur nous a précisé que cela est dû essentiellement aux divers réseaux qui ne sont pas réalisés. “De 75 millions de centimes, le coût du réseau d'assainissement est passé à deux milliards de centimes. On ne sait pas qui va payer cette charge”, a ajouté un autre acquéreur. Les bénéficiaires de ces logements qui ont versé les tranches ne savent plus quoi faire. “Même si nous nous sommes acquittés du coût du logement, nous continuons à louer des logements à raison de 8 000 dinars par mois chez des particuliers”, nous a précisé cet avocat. Le problème réside surtout dans le raccordement de ces immeubles au réseau d'assainissement. “Nous avons proposé une solution, mais on nous a répondu que ce n'était pas esthétique”, nous a confié un autre intervenant. Dans une virée sur les lieux, il nous a été donné de constater que les travaux de finition du troisième bloc C sont en cours d'achèvement. Il faut dire que ces logements font partie d'un programme de 140 logements. Deux tranches, l'une de trente et l'autre de neuf, ont été livrées à leurs acquéreurs. Dernièrement, un autre projet de 24 logements LSP a été lui aussi achevé dans les délais. Actuellement, il est confié 60 et 18 autres logements à des promoteurs immobiliers privés différents et pour lesquels les travaux sont en cours. O. Ghilès