aïn defla UN TRAFIQUANT ARRÊTE Dressant un barrage de police de la route sur le tronçon de l'autoroute est-ouest, les gendarmes de l'escadron de sécurité routière d'Aïn Defla ont interpellé une personne qui transportait, à bord d'un véhicule, 1 500 sachets de tabac à chiquer sans registre du commerce ni facture. Les mis en cause a été présenté devant le procureur de la République près le tribunal d'Aïn Defla. Ce dernier a prescrit la mise en liberté du mis en cause après son audition et la remise de la marchandise à la direction du commerce. H. H. Université de Béjaïa 1 000 nouvelles places pédagogiques à Aboudaou 1 000 nouvelles places pédagogiques seront disponibles au campus d'Aboudaou, et ce dès la rentrée universitaire. Il sera prêt ainsi pour la rentrée universitaire prochaine 2009 2010. Le montant de ce projet est de l'ordre de 494 322 534,66 dinars. Ce programme vient compléter celui déjà réalisé qui consiste en 12 amphithéâtres de 250 places, 1 bloc d'enseignement de 2 000 places, une bibliothèque de 750 places et 1 bloc pour l'administration. La wilaya de Béjaïa a ainsi bénéficié d'une opération de réalisation d'une nouvelle faculté avec dépendance à Aboudaou. De son côté, la faculté de médecine bénéficiera d'une unité pour le développement de la recherche et d'aide au diagnostic, c'est-à-dire améliorer les conditions de travail des professeurs et de la médecine en général et prendre beaucoup plus en charge les patients du futur CHU de Béjaïa et ses stagiaires en médecine. A. HAMMOUCHE Bordj El-Kiffan Les occupants des chalets du site de la SNTR bloquent la route Les pluies diluviennes qui se sont abattues mercredi dernier ont occasionné plusieurs dégâts matériels aux habitants des chalets du site de la SNTR à Bordj El-Kiffan, à l'est d'Alger. Ces derniers sont sortis dans la rue pour exprimer leur colère et leur mépris envers les pouvoirs publics. En effet, des dizaines de personnes ont barricadé la route reliant Bordj El-Bahri à Bordj El-Kiffan à l'aide de pneus brûlés, pierres et autres objets de fortune en guise de protestation contre ce qu'ils appellent le laisser-aller et l'abandon.“Il y a une semaine, les chalets ont été inondés par les eaux de pluie. Il a fallu l'intervention des agents de la Protection civile et l'aide des voisins pour sauver ce qui peut être sauvé. Dans la nuit de mercredi à jeudi, on a subi le même sort, c'est-à-dire des inondations, suite aux importantes chutes de pluie qui se sont abattues. On veut être relogés, y'en a marre de la vie dans ces préfabriqués.” Nacer Zerrouki