Un Forum international de la qualité se tiendra, les 1er et 2 mars prochain, à Alger. Cette manifestation, placée sous le haut patronage du ministre de l'Industrie et de la Promotion des investissements est organisée à l'initiative de Buzz Communication, en partenariat avec l'Institut algérien de normalisation (IAOR) et de l'Agence nationale de développement de la PME (AND/PME). Plusieurs communications, des tables rondes ainsi que des ateliers sont prévus à l'occasion de ce rendez-vous qui verra la participation d'experts nationaux et internationaux en la matière. C'est ainsi qu'il est question, à titre d'exemple, d'une communication autour du management de la qualité dans le programme MED2, qui sera faite par un responsable de la Direction de la qualité au ministère de la PME/PMI et de l'Artisanat; une communication sur l'impact économique de la normalisation est également au programme et sera présentée par M. Aïssaoui, directeur général de l'Ianor. Le P-DG de l'Insim, le Dr Lamiri, fera quant à lui, une communication sur l'impact économique de la qualité, tandis que Joseph N. Kelada donnera une conférence autour de la gestion de la qualité. Hier, à l'occasion d'une conférence de presse, organisée à Alger et à laquelle ont pris part des responsables de l'agence de communication, le directeur général de l'AND/PME, le directeur général de l'Ianor, des explications sur les objectifs et les contours du forum ont été données. Il s'agissait de faire prendre conscience aux entreprises “de la qualité comme axe stratégique de développement et de compétitivité nationale et internationale”. Il est expliqué tout autant que cette rencontre permettra d'appréhender “les différents systèmes de management en impliquant les experts, les organismes certificateurs, les organismes accompagnateurs ainsi que tous les acteurs accompagnateurs afin de mettre en exergue les enjeux de la démarche qualité dans le développement économique de l'Algérie à l'orée de son adhésion à l'OMC et dans la perspective de l'après-pétrole”. La réorientation de l'économie nationale vers d'autres secteurs, à l'image du tourisme, l'agroalimentaire et des services, est préconisée à cet égard.