En 1992, a eu lieu le sommet de Rio (Brésil) qui allait, pour la première fois, consacrer dans l'une de ses conventions, particulièrement dans son Agenda 21, l'érosion de la diversité biologique comme dommage d'environnement global. L'Algérie figure parmi les Etats signataires de cette convention. En ratifiant cette convention, le gouvernement algérien partage les mêmes représentations et les mêmes soucis d'établissement d'un nouvel ordre écologique mondial qui sera fondé sur l'harmonisation et l'uniformisation des instruments politiques. La convention de Rio a ratifié séparément deux types de droits de propriété : le droit de propriété sur les ressources génétiques et les produits biotechniques, et le droit de propriété sur les ressources naturelles.