Bravo pour votre article “Le syndrome du sachet noir”. Je suis Algérienne et je réside en France depuis 1996. Cet été, je suis rentrée avec mes deux enfants pour passer des vacances, malheureusement nous avons été sidérés par la saleté des villes et des plages. Mes 2 garçons et moi avons joué aux éboueurs pendant 40 jours. Je tiens à préciser que ce fléau ne concerne pas que les grandes villes algériennes. Une ville charmante comme Boussâada est devenue une décharge publique. Elle est où la solution ? Alors, à vos plumes Mesdames et Messieurs les journalistes. Il faut harceler les pouvoirs publics en espérant attirer l'attention des Algériens. Bon courage à la presse algérienne. Oulaïa C.