La confusion a atteint son paroxysme lors de l'installation du nouveau (ancien) mouhafadh du FLN, actuel sénateur, pendant que l'assistance s'attendait à la montée, sur le podium, d'une autre personnalité, l'actuel P/APW en l'occurrence. Mieux encore, certains prétendent que les dés ont été jetés à l'avance, voire au bureau même de Belkhadem, dans la mesure où le représentant de ce dernier s'est trahi en prononçant d'emblée le nom du revenant. Dans ce sillage, la masse juvénile de ce parti, qui traduit cette manigance par un pur “coup d'Etat”, menace de fermer la mouhafadha et d'observer un sit-in devant le siège du parti à Alger.