Salim Oussaci, l'ancien arbitre, est de retour sur la scène sportive nationale. Depuis quelques semaines, il occupe le poste de manager général de l'Entente de Sétif. Approché pour savoir un peu plus sur sa venue au sein de la direction de la formation des Hauts-Plateaux, Oussaci affirme qu'il n'a pas “hésité un seul instant à répondre par l'affirmative aux sollicitations du boss sétifien”. “Abdelhakim Serar m'a convaincu. J'ai accepté de venir apporter un plus, à son projet, celui de hisser l'Entente de Sétif à la place qui lui sied. Il faut avouer, à cet effet, le grand et gigantesque travail qu'il est en train d'effectuer depuis qu'il dirige le club. Tout l'honneur est pour moi de travailler à ses côtés et servir en même temps le club. Certes, la mission qu'on m'a confiée est difficile, mais je crois que je suis suffisamment qualifié et apte pour remplir ma tâche convenablement et être à la hauteur de cette confiance”, dira-t-il. Concernant sa nouvelle mission, Oussaci avoue qu'il mettra sa modeste expérience pour tenter de contribuer aux côtés du comité-directeur à faire retrouver à l'Aigle noir sa place réelle : “Je pense que le projet de Serar, qui consiste à redonner à l'ESS sa véritable dimension, à savoir restructurer et rendre le club omnisports, n'est pas chose facile. Il doit y avoir une organisation durable et une large expérience dans ce domaine. J'essayerai, à travers ma modeste expérience dans le domaine, d'être à la hauteur de cette mission et la confiance qu'on a mise en moi. Cette saison, il y a un nouveau souffle à l'Entente, ça demande une contribution et une grande volonté de la part de tous, pour garder cet esprit. C'est un défi que je tâcherai de relever avec les autres membres du comité.” Et d'ajouter un peu plus loin : “À Sétif, il existe un potentiel humain impressionnant. On possède un bon groupe de joueurs et un staff technique qualifié qui n'est plus à présenter. Aussi, à la tête de ce club, il y a un homme dévoué qui est en train d'effectuer un grand travail. Je parle, bien sûr, de M. Abdelhakim Serar. Il veut vraiment faire de l'ESS un club professionnel, sans oublier l'apport des pouvoirs publics, notamment du wali de Sétif. Je pense, qu'on est sur la bonne voie et on fera tout pour contribuer au retour de l'Entente à sa véritable place”, conclut-il. Fellahi reprend Finalement, le capitaine de l'ESS, Farès Fellahi, a repris le chemin des entraînements, samedi dernier. En effet, touché au niveau de la mâchoire, lors du dernier match du championnat, face au RCK, le baroudeur sétifien a été autorisé par le médecin de l'équipe à rejoindre ses coéquipiers aux séances de préparation, après avoir été rassuré sur l'état de sa blessure. En outre, concernant le cas du défenseur central, Fethi Reggad, touché au genou lors de la même rencontre, qui l'a contraint d'ailleurs à abandonner son équipe en cours de jeu, il souffre, apprend-on, d'une contusion qui nécessite quelques jours de repos, avant de reprendre du service. D'ailleurs, sa participation au prochain rendez-vous face à l'ASO Chlef reste incertaine, selon la même source. Le staff technique des noir et blanc pourra compter sur les services de Réda Bendris qui a effectué un bon retour à la compétition après une absence de plusieurs semaines. L'arrivée des Togolais reportée Prévue pour mercredi dernier, l'arrivée des Togolais Kojo Apeloti et Angelo Obonapo a été reportée à une date ultérieure. En effet, malgré les démarches et les contacts de la direction du club avec les ministères des affaires étrangères et de la jeunesse et des sports, les deux joueurs seraient, apprend-on, toujours bloqués par le problème de visa, dans la mesure où l'Algérie ne dispose pas d'une représentation diplomatique au Togo. à cet effet, le président de l'ESS, Abdelhakim Serar, vient de solliciter notre ambassade à Abuja, capitale du Nigeria, pour établir le fameux document et permettre aux deux Togolais de rejoindre notre pays. F. R.