“Robopocalypse" : Steven Spielberg veut Chris Hemsworth (“Thor") Steven Spielberg vient officiellement d'annoncer son intention de tourner avec le chouchou de ces dames, l'Australien Chris Hemsworth (“Thor"). Même si l'acteur de 28 ans a déjà un agenda bien rempli pour l'année à venir, le site Deadline affirme qu'il serait déjà en pourparlers avec le réalisateur au sujet de “Robopocalypse". “Robopocalyspe" est tiré du roman du même nom, écrit par Daniel H. Wilson. L'histoire a lieu dans un futur proche du nôtre au cours duquel les hommes, vivant en phase avec les robots, se retrouvent menacés par ces derniers. Archos, une intelligence artificielle cachée sous la glace en Alaska, aurait dans l'idée de retourner les machines contre les humains. Après “Cheval de guerre" sorti en février dernier, Steven Spielberg retourne vers la science-fiction avec “Robopocalypse" : “C'est un film sur la guerre entre les humains et les machines dans un futur qui pourrait arriver plus vite que nous le pensons. ‘Robocalypse' évoque les conséquences de créer des machines qui deviennent plus intelligentes que nous", a confié le réalisateur au site Time Out. Avec une sortie prévue en 2014 pour “Robopocalypse", Chris Hemsworth devra également jongler avec la suite de “Thor" et “The Avengers 2" s'il accepte l'offre de Spielberg. Affaire à suivre... “Intouchables" : l'incroyable jackpot suite au succès du film Avec “Intouchables", Gaumont, co-producteur du film d'Olivier Nakache et Eric Toledano, a trouvé sa poule aux œufs d'or. Troisième plus gros succès en France, derrière “Titanic" (20,7 millions d'entrées en 1998) et “Bienvenue chez les Ch'tis" (20,4 millions en 2008). Ailleurs dans le monde, l'histoire de Philippe, riche aristocrate, qui engage comme aide à domicile Driss, un jeune de banlieue cartonne également puisqu'elle a séduit près de 20 millions de spectateurs. Comme le révèle “Le Figaro", le groupe cinématographique a vu son chiffre d'affaires progresser de 49 % par rapport au premier semestre 2011 en passant de 33,6 millions à 50,1 millions d'euros, pour un bénéfice net de 7,7 millions.Avec un coût de production de moins de 10 millions d'euros et un budget marketing de 1 à 2 millions, “Intouchables" est un véritable jackpot pour Gaumont. “Au bout de quinze jours d'exploitation, on savait que ce serait un succès. À partir de trois millions d'entrées, c'est devenu une belle affaire", explique Sidonie Dumas, directrice générale de la société de production et de distribution à nos confrères du “Figaro". Le journal précise que ce carton aurait permis au groupe d'empocher un bénéfice avant impôts d'environ 20 millions d'euros, dont 16 millions liés aux seules entrées en salles.