“Waterworld" : un remake en préparation ? “Waterworld" a marqué l'histoire du septième art en devenant le plus gros flop cinématographique de son époque. Sorti sur les écrans en 1995, le long métrage, qui célébrait encore les heures de gloire de Kevin Costner, avait bénéficié d'un budget de 175 millions de dollars (auquel il a fallu ajouter tous les frais de marketing), mais n'avait rapporté que 88 millions de dollars aux USA. Sans compter les critiques désastreuses que le film avait dû essuyer lors de sa sortie. Qu'à cela ne tienne ! La chaîne de télévision américaine SyFy serait actuellement en pleines négociations avec les sudios Universal Pictures pour obtenir les droits du film. SyFy souhaite en effet sortir un remake du film de Kevin Reynolds. Reste encore à savoir sous quelle forme. A priori, le film sera adapté soit en plusieurs longs métrages à la manière de “Star Wars", soit en série télé. Une chose est sûre, le budget octroyé à la production sera moins conséquent que pour l'original. Affaire à suivre donc. Pour ceux qui l'auraient oublié, “Waterworld" est un film d'anticipation fantastique dont l'action se déroule en l'an 2500. Epoque à laquelle les calottes glaciaires ont fondu, recouvrant d'eau la planète entière. Quelques rares rescapés, dont Mariner, un aventurier solitaire (Kevin Costner), tentent de survivre sur des atolls artificiels et sont à la recherche d'une contrée mythique appelée Dryland. Cameron Diaz et Colin Firth dans “Gambit" des frères Coen De The Big Lebowski à Fargo en passant par O'Brother ou à Burn after Reading, on connaît le goût des frères Coen pour les personnages bien trempés ! Cela semble encore être le cas dans “Gambit", le remake d'une comédie de 1966. Après George Clooney ou Brad Pitt, c'est Cameron Diaz, qui excelle dans la comédie, et Colin Firth, auréolé de son oscar grâce au “Discours d'un roi", qui s'y collent. Le pitch ? Un conservateur d'art (Firth, plus British tu meurs) projette d'arnaquer un riche collectionneur avec un faux Monet. Il recrute dans ce but une cow-girl texane (Diaz) dont le rôle consistera à jouer une femme dont le grand-père aurait dérobé le tableau à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Quatre extraits, plutôt engageants, sont désormais en ligne sur le Net. Dans le premier, Cameron Diaz débarque chez sa grand-mère, disons fâchée avec le ménage, et parle avec un accent texan à couper au couteau tandis que Colin Firth tente de prendre une photo. Dans le second, le duo tente d'arnaquer Alan Rickman dans le troisième extrait. Enfin, le dernier montre un début de bagarre générale dans un bar et un choc (au sens propre comme au figuré) des cultures (US vs Angleterre) pour Colin Firth. De quoi donner furieusement envie de voir le résultat courant 2013. “X-Men, Days of Future Past" : le casting dévoilé On prend les mêmes et on recommence ! Tel pourrait être le leitmotiv du film “X-Men : Days of Future Past" qui vient de dévoiler la majeure partie de son casting. Si “X-Men : Days of Future Past" marque le retour de Bryan Singer à la réalisation (le metteur en scène avait déjà réalisé “X-Men" en 2000 et “X-Men 2" en 2002), il ne réservera pas beaucoup de surprises à l'affiche. En effet, à en croire les derniers messages laissés par Bryan Singer en personne sur Twitter, la fine équipe de la saga “X-Men" a accepté de rempiler pour la suite des aventures des super héros Marvel. Avec en première ligne Ian McKellen et Patrick Stewart qui reprendront leurs rôles respectifs de Magneto et de Professeur X. Michael Fassbender et James McAvoy incarneront quant à eux les personnages jeunes comme ils l'avaient fait dans le précédent opus. À noter que Jennifer Lawrence (Mystique) et Nicholas Hoult (Le Fauve) seront aussi de la partie. Prévu dans les salles en juillet 2014, le très attendu “X-Men : Days of Future Past" remontera à l'origine de la guerre entre les hommes et les mutants. Le film alternera entre le moment présent qui voit les super héros se battrent contre la Confrérie des mauvais mutants menée par Mystique, et le futur proche qui voit la chute des mutants après l'assassinat du sénateur Robert Kelly. Le tout sur fond de guerre froide et de voyages temporels. Du grand spectacle en perspective !