Suite à l'article paru dans votre édition du 12/08/2013, n°6381 intitulé : "Le maire d'Ighram agressé, écrit par M. Kamel Ouhnia", nous, héritiers Daoudeddine, sommes profondément outrés par le contenu du texte ne reflétant pas exactement la réalité des évènements qui se sont déroulés sur notre propriété violée par le P/APC d'Ighram et apportons les précisions suivantes : "Le 29/07/2013, journée du mois de Ramadhan nous étions surpris de voir des travaux effectués sur notre propriété privée à notre insu. Nous avons décidé de faire des démarches légales auprès des instances compétentes, en amenant un huissier de justice pour faire le constat des lieux : nous avons arrêté les travaux en cours, et c'est à ce moment que le P/APC d'Ighram est arrivé accompagné par deux agents de la mairie. Nous lui avons demandé gentiment les raisons de ces travaux sans qu'on soit avisé, et ne détenant aucune preuve administrative et autorisation valable,ce responsable de la commune nous demande à nous ce que nous faisions ici ! Nous avons répondu que c'est notre propriété légale ; il nous a répondu que c'est faux le terrain en question appartient aux "aarch" ! C'est le faux et l'usage du faux, les biens aarchs n'existent pas dans notre commune ; c'est alors que nous lui avons répondu pourquoi tu nous a sollicité pour la vente de ce terrain devant de nombreuses personnalités à l'occasion de la commémoration du chahid Arezki Khezaz à Taslent, ce qu'il nie. - Après échange de mots, notre frère ayant des maladies chroniques (diabète, hypertension) et ayant subi une intervention chirurgicale récente lui a donné un coup avec une canne sur laquelle il s'appuie afin de défendre la dignité et l'honneur de nos biens sacrés, exigés par la religion et toutes les lois. - N'importe qui dans cette situation ferait la même chose si ce n'est plus, ça c'est passé dans notre propriété légitime et non ailleurs. Pour les héritiers Daoudeddine Daoudeddine Md Tayeb Nom Adresse email