Vingt-quatre pays au Festival du Théâtre de Béjaïa À partir du 29 octobre et jusqu'au 5 novembre prochain, Béjaïa vivra au rythme du 4e art, à l'occasion de la tenue de la 5e édition du Festival international du théâtre professionnel. 24 pays et 32 représentations. Les organisateurs ont concocté un programme riche et varié pour l'occasion. En plus des activités théâtrales qui se dérouleront dans la ville de Béjaïa, plusieurs animations théâtrales sont programmées dans une dizaine de communes de la wilaya et dans d'autres wilayas. En outre, plusieurs conférences-débats ainsi qu'un colloque autour de la pratique théâtrale seront animés par des spécialistes à la cinémathèque de Béjaïa. De plus, un bus composé de conteurs sillonnera les quelques villages de la wilaya. Les organisateurs, qui se fixent comme objectif d'instaurer une tradition théâtrale dans la wilaya de Béjaïa, devront cette fois remédier au problème du manque de places pour accueillir les adeptes du 4e art qui seront sans aucun doute nombreux durant cette édition. Cette carence enregistrée lors de l'édition précédente a, pour rappel, privé beaucoup de personnes de profiter du rendez-vous théâtral. Hakim Kabir Le cinéma algérien à Cordoue Cette année, dans sa 10e édition, le Festival du cinéma africain de Cordoue (FCAT), qui a débuté avant-hier, a sélectionné dix films algériens. Parmi ceux-ci, le documentaire Demande à ton ombre (2012), de Lamine Ammar-Khodja, dans la catégorie en compétition "Del otro lado del estrecho" (De l'autre côté du détroit). C'est dans la boîte (2013) est une coproduction française de Djamel Beloucif, et traite de l'émigration à travers des habitants d'un quartier défavorisé de France, jouant avec l'improvisation des acteurs. Trois courts métrages algériens qui font partie de la section en compétition África en corto (L'Afrique en court) : Al Djazira, d'Amin Sidi Boumediène (2012), Les jours d'avant, de Karim Moussaoui (2013), et Tarzan, Don Quichotte et nous, de Hassan Ferhani (2013). Concernant la fiction, trois films sont programmés dans la section compétition "El sueño africano" (Le rêve africain), notamment Yema, de Djamila Sahraoui (2012). Deux autres films algériens seront projetés dans la rétrospective "Diez fragmentos de un discurso de amor africano" (Dix fragments d'un discours d'amour africain) : On ne mourra pas d'Amal Kateb, et Roma wa la n'touma de Tariq Teguia. Nom Adresse email