Le nombre des bacheliers inscrits a atteint les 5498, alors que celui des étudiants en cours de transfert est de 5823. Tandis que la nouvelle année universitaire est à peine entamée et la phase des inscriptions administratives officiellement achevée, selon le vice-recteur chargé de la pédagogie, Yahla Houari, le nombre des nouveaux bacheliers inscrits a atteint les 5498 étudiants, alors que 5823 transferts sont en cours. Ils concernent essentiellement les 2es années en provenance des centres universitaires de Relizane et Tissemsilt. Par ailleurs, le premier responsable de la pédagogie de l'université Abdelhamid-Ibn Badis de Mostaganem nous a révélé que pour cette année, l'établissement accueillera pas moins de 28 000 étudiants inscrits dans les différentes facultés réparties à travers les 4 sites de l'université. Cependant, ce chiffre fourni devrait légèrement varier d'ici 15 jours parce que les étudiants ont tendance à traîner un peu, chaque début de rentrée universitaire pour officialiser leurs inscriptions en fournissant les pièces administratives manquantes. Par ailleurs, interrogé sur l'encadrement des étudiants, Yahla Houari nous a indiqué à ce sujet que 14 000 enseignants assureront au titre de cette année universitaire l'enseignement dans les meilleures conditions possibles afin de garantir une instruction de qualité. Pour l'année dernière, l'université Abdelhamid-Ibn Badis avait délivré 37 diplômes de licence dans le cadre du système LMD et 5800 masters. Pour cette nouvelle année, l'université a enregistré 800 inscriptions en doctorat, toutes filières confondues, à travers la plateforme numérique Progress ouverte sur le site web dédié à cet effet. À ce propos, notre interlocuteur nous a informé que 95 postes pédagogiques sont actuellement ouverts en doctorat pour les 20 filières habilitées à recevoir les inscriptions pour un cursus réglementaire de 3 ans. "Par ailleurs, le département de biologie situé à l'ex-ITA a subi de gros travaux de réhabilitation ordonnés par le recteur, car les plafonds de certains amphithéâtres menaçaient de s'effondrer à tout moment. Cet état de fait a eu pour conséquences de perturber sérieusement la reprise des cours au département en question, puisque ce sont 400 places pédagogiques qui ont été perdues, mais c'est une situation temporaire et dès l'achèvement des travaux tout rentrera dans l'ordre", a tenu à rassurer Yahla Houari. M. Salah