TAXIS JAPONAIS payer par téléphone mobile Une société de crédit japonaise (JCB) a mis au point une solution de paiement de courses de taxi par téléphone portable. Aujourd'hui disponible sur 641 voitures (opérant dans la région de Yokohama près de Tokyo), cette procédure permet de régler le conducteur en moins de cinq secondes. Le système baptisé QuicPay repose sur un lecteur de carte à puce sans contact embarqué à bord du véhicule. La transaction se fait en effleurant le lecteur avec un téléphone compatible. Le montant de la course est ensuite prélevé en fin de mois, en une ou plusieurs échéances. Fiabilité des téléphones portables au secours, les 3g arrivent ! Selon l'association de défense des consommateurs britannique Which, près de 70% des téléphones portables vendus outre-Manche ont connu une panne durant leur six premiers mois d'utilisation. L'étude réalisée auprès de 5 000 utilisateurs a mis en évidence des problèmes de clavier, de connexion au réseau, d'enregistrement des contacts dans le répertoire téléphonique... Selon l'association, les problèmes pourraient s'aggraver avec l'arrivée des mobiles 3G, plus sophistiqués. Mendicité de la monnaie pour tout le monde Elle sait ce qu'elle fait. Une vieille mendiante propose de rendre la monnaie aux passants qui déclarent ne pas en avoir. Elle cherche à persuader ceux qui refusent de lui faire l'aumône. La formule “je n'ai pas de monnaie” est dépassée pour cette vieille femme qui mendie dans les rues d'Antsirapé. Elle sait comment convaincre les passants de lui donner les pièces de monnaie dissimulées dans les poches. À chaque réponse, elle essaie de trouver une solution en se servant de toutes les astuces. Première victime : un jeune de passage dans la ville d'Eaux lui déclare n' avoir ni des pièces ni de petits billets en lui montrant un billet de 10 000 ariary. Voulant avoir “sa part”, la mendiante lui propose de rendre la monnaie en fouillant dans sa poche et en sort des liasses bien rangées. Face à son comportement, le passant décide de lui offrir un billet de 500 ariary qu'il n'a même pas songé offrir à la vieille femme. Tous les moyens sont bons pour trouver un peu d'argent face au coût de la vie. Il a piraté un film en salle il risque dix-sept ans de prison C'est une première : un Américain du Missouri de 19 ans a été mis en examen pour avoir filmé au caméscope un film dans une salle de cinéma. Le procédé, qui sert notamment à alimenter les réseaux peer-to-peer, n'est pas nouveau. La mise en examen intervient en application d'une loi fédérale du mois d'avril qui interdit cette pratique. Le prévenu avait filmé des longs métrages récents, notamment The Perfect Man (L'homme parfait) et Bewitched (Ma sorcière bien-aimée). Mais en plus, il se faisait payer pour fournir ces copies de films piratés. Il risque jusqu'à dix-sept ans de prison.