Les diabétiques de relizane à l'honneur Dans le cadre de son programme de sensibilisation envers les malades, l'association des diabétiques El Amel de Relizane a organisé une journée de sensibilisation au profit des malades des daïras de Mendes et de Zemmora en collaboration avec des représentants des laboratoires d'insuline et des usines de fabrication des outils de contrôle de glycémie. Cette journée animée par des médecins et des spécialistes et les représentants du laboratoire a été axée sur le thème du “Régime alimentaire et son rôle dans la prévention des complications chez les malades diabétiques”. Des instruments de contrôle et des stylos d'insuline ont été distribués aux malades venant des communes des deux daïras, notamment ceux qui ont eu des complications. Les habitations d'un haouch menacent ruine Cinq familles habitant à la rue Annaba, dans un haouch menaçant ruine, ont lancé un SOS aux autorités locales afin qu'elles prennent connaissance de leur situation qui perdure depuis des années. Ces familles ajoutent qu'elles étaient programmées pour l'opération de recasement précédente, mais elles ont été exclues sans aucune raison. Ces dernières qui résident dans un haouch collectif, dépourvu de toutes commodités, sollicitent l'intervention urgente des autorités locales afin de leur éviter le pire, notamment en cet hiver où leurs maisons menacent ruine. N. AYMEN BECHAR Le quartier “Kandahar” dans une situation catastrophique Bien que situé à quelques kilomètres du centre-ville de Béchar, le quartier “Kandahar”, l'un des plus peuplées du chef-lieu de wilaya, semble être délaissé par les autorités locales qui tardent à intervenir pour bitumer les routes. Les nids-de-poule et les crevasses remplis d'eau empêchent les automobilistes d'emprunter ces routes. Quant aux taxieurs, ils refusent généralement de transporter leurs clients au niveau de cette cité. “Nous ne demandons pas son bitumage, mais simplement boucher les trous et l'aménagement de fossés pour éviter la stagnation des eaux de pluie”, affirment les habitants de ce lotissement. “Notre quartier vit l'enclavement et la précarité sociale en permanence”, a déclaré un enseignant habitant cette cité. Il est à noter que la précarité sociale dans ce quartier est telle que les jeunes de ce lotissement ne voient rien se profiler à l'horizon, alors que pour ce qui est des distractions et des loisirs, ils demeurent un sujet tabou dans cette cité enclavée. RACHID ROUKBI