30 milliards de centimes pour la formation professionnelle Le secteur de la formation professionnelle de Jijel a bénéficié d'une enveloppe financière estimée à 30 milliards de centimes pour la réalisation de deux nouveaux centres dans les communes de Settara et Oudjana (27 milliards de centimes), des projets d'extension du centre de formation garçons de la ville de Jijel, l'internat du centre féminin, le centre d'El Milia et l'INFSP. Notons que 412 jeunes ont été inscrits durant les mois d'octobre et novembre derniers dans différentes spécialités de la construction et des travaux publics. 112 stagiaires ont été réintégrés au projet de réalisation du pôle universitaire de Tassoust vu le déficit enregistré dans la main-d'œuvre. DEUX MORTS ET DEUX BLESSES GRAVES À JIJEL Un accident de la circulation est survenu, dans la nuit de jeudi à vendredi, aux environs de 21h30, au lieu-dit Afaghir, à la limite des wilayas de Jijel et Béjaïa. Immatriculé à Jijel, un véhicule de marque Renault 11 s'est renversé et a dévalé une pente qui mène jusqu'à la plage. Originaire de M'kaceb à Jijel, deux des quatre occupants du véhicule sont morts sur le coup, alors que les deux autres sont dans un état jugé très grave. Ils seront évacués en urgence par les éléments de la Protection civile d'Aokas, vers l'hôpital de Béjaïa. MOURAD BOUCHAMA Une commission d'enquête à l'Apc de Bouga Le premier responsable de la wilaya de Sétif a diligenté, mardi dernier, une commission d'enquête à l'APC de Bougaâ. En effet, les services de la wilaya ont constaté un grand retard dans la réalisation des différents projets inscrits durant l'année 2005 pour le développement de la commune. D'un montant global estimé à 5 milliards, l'APC de Bougaâ n'a dépensé qu'un milliard du plan communal de développement (PCD) consacré par l'Etat. Elle prive ainsi les citoyens de la localité de projets avec un montant de 4 milliards. Selon nos sources, l'objectif de la mission des représentants du wali est de recenser les contraintes ayant entravé la réalisation des projets inscrits au profit des habitants de l'une des plus importantes communes de Sétif. En attendant les résultats de l'enquête, les citoyens s'interrogent : “Est-ce qu'il est possible de reconduire ce montant pour l'exercice 2006 ? L'APC a-t-elle les moyens de rattraper ce retard et pourquoi les responsables de l'APC n'ont pas dépensé les 4 milliards ?” F. SENOUSSAOUI