Le problème du foncier agricole, objet de litiges entre agriculteurs, n'a toujours pas trouvé son épilogue. L'opération du cadastre n'a pas encore touché la commune et la majorité des réserves foncières de cette dernière appartient à des privés, ce qui a pesé sur le budget communal en raison de l'exécution des décisions de justice relatives à l'indemnisation des terres récupérées et utilisées comme terrains d'assiette pour les constructions publiques. L'APC souhaite une aide financière de la part des autorités de tutelle pour régler ces situations. Par ailleurs, l'APC de Aïn Sandal, relevant de la daïra de Khezaras, a bénéficié, dans le cadre des plans communaux de développement, d'une autorisation de programme de 19 173 000 DA pour la réalisation de 8 projets. Il s'agit, entre autres, de l'ouverture de pistes entre Aïn El Galaâ et El Hassouana sur 3 km, entre Fedj Lazreg et Kifen Laâdjoul sur 2,5 km et entre Mehboub et Sebaâ Ayoun sur 1,5 km. De son côté, Hammam N'bails, chef-lieu de daïra, à 38 km au sud-est de Guelma, a bénéficié, dans le même cadre, d'une enveloppe financière de 15 968 000 DA pour le renouvellement des réseaux d'AEP de plusieurs communes. Il est à noter que dans cette localité comme dans plusieurs autres à travers la wilaya, le raccordement au gaz de ville demeure une préoccupation majeure des responsables et de la population locale. Aussi, parmi les projets qui préoccupent l'APC et qui n'ont pas encore été inscrits, il y a ceux du réseau d'évacuation des eaux usées à Aïn Souda et celui de l'aménagement et de la réfection d'une salle de soins au même lieu, ou encore l'électrification rurale pour les mechtas Rahli et El Guerbedj. B. Nacer