SéTIF Le nouveau responsable de la sûreté installé… Chouder Amar, ancien adjoint du chef de Sûreté de wilaya de Sétif depuis près de deux années, a été officiellement installé, hier, à la tête de la Sûreté de wilaya de Sétif en remplacement de Reskil Saddek admis à la retraite. … et le directeur de l'éducation limogé D'autre part, Bezzala Ahmed, qui occupait les fonctions de directeur de l'éducation de la wilaya de Sétif depuis 6 mois, a été relevé de ses fonctions. Le poste demeure pour l'instant vacant en attendant la désignation de son remplaçant. FARID B. GUELMA des projets pour l'artisanat L'artisanat à Guelma, c'est d'abord “el haïk el guelmi”, le tissage, la poterie, la broderie et la bijouterie artisanale. Cette dernière est plutôt réservée à la ville. Il existe aussi une unité de tapis traditionels. Certaines localités sont réputées pour leurs activités artisanales variées, comme Guelâat Bousbaâ, à 10 km de Guelma, Bouhamdane ou encore Hammam N'bails. La chambre de l'artisanat et des métiers de la wilaya compte plus de 1 500 adhérents. Elle a bénéficié, en 2003, de 30 projets dans le cadre du développement rural sous forme de dons d'une valeur de 10 millions de centimes pour chacun des bénéficiaires, permettant la création de près d'une soixantaine d'emplois. Pas moins de 18 autres projets seront attribués incessamment alors que 50 nouveaux dossiers sont soumis à l'approbation du ministère de tutelle. À propos des autres activités, Nordine Boumali, président de la Chambre de l'artisanat et des métiers Skikda-Guelma, dira : “Nous participons à toutes les expositions et actuellement nous préparons le Salon national de l'artisanat consacré au marbre qui se tiendra à Skikda le 29 novembre et auquel participeront 12 wilayas.” B. NACER JIJEL L'assainissement fait défaut à taza La localité de Taza (commune de Ziama Mansouriah) souffre de l'absence d'un réseau d'assainissement. Ainsi, selon les déclarations de quelques habitants, les autorités locales sont appelées à prendre des mesures pour régler ce problème. Nos interlocuteurs affirment que la situation est préoccupante à plus d'un titre en l'absence d'un réseau pour les eaux usées qui sont déversées dans des fosses septiques dans la plupart des cas et qui sont loin de répondre aux exigences des normes en la matière. Les risques d'infiltration au réseau d'eau potable et autres souterraines ne sont pas écartés et de là, les risques de propagation des maladies à transmission hydrique. Le puits de la mosquée de la localité duquel s'alimentent plusieurs familles a été fermé, récemment, par le bureau d'hygiène de l'APC. Mourad B.