Mila Cinq dealers arrêtés à Grarem Gouga Les services de la Sûreté de daïra de Grarem Gouga, au nord de Mila, ont mis fin, ces derniers jours, aux agissements de 5 individus impliqués dans des affaires de trafic et de consommation de drogue et de boissons alcoolisées. Lors des opérations d'interpellation et les perquisitions effectuées à domicile, il a été saisi plus de 23 g de kif traité, 150 bouteilles de boissons alcoolisées, ainsi que 11 comprimés de psychotrope. Présentés devant le procureur près le tribunal de Mila, les mis en cause ont été placés sous mandant de dépôt. Kamel B. Université Badji-Mokhtar de Annaba Un nouveau bloc de 40 laboratoires de la recherche scientifique en cours de réalisation Un projet de 40 laboratoires de recherche, dont 30 relevant des sciences expérimentales et 10 pour les sciences fondamentales (mathématiques et informatique), est en cours de réalisation à l'université Badji-Mokhtar de Annaba. D'une autorisation de programme de 200 millions de dinars, ce projet, dont les travaux de réalisation enregistrent un taux d'avancement estimé à 70%, permettra, d'une part, à l'université de dynamiser l'activité de la recherche scientifique pour en faire un levier du développement, et de l'autre, aux enseignants chercheurs de rentabiliser leur travail. Outre des espaces communs, ce projet conçu dans la perspective de mieux utiliser les équipements disponibles, dit-on, comprend surtout un lot de matériels technologiques lourds qui sera mis à la disposition des différentes équipes de recherche structurées pour une exploitation commune. Cette nouvelle infrastructure, dotée de toutes les commodités (l'électricité, le téléphone et les services), comprend en outre une salle de conférence de 150 places. B. BADIS Les malades atteints d'hépatite dans l'angoisse à annaba Les malades atteints d'hépatites B et C, et qui, actuellement, sont soumis à un traitement par l'interféron, un produit très coûteux indisponible dans les pharmacies, vivent dans l'angoisse d'une éventuelle rupture de stock de ce médicament. En effet, selon leurs déclarations, il ne reste plus dans la pharmacie de l'hôpital que pour 3 semaines de traitement, et ce service est dans l'attente d'une nouvelle livraison. D'un autre côté, ils appréhendent que “la pharmacie centrale ne reçoive pas, comme la fois passée, le certificat de conformité du produit en même temps que le médicament lui-même, un autre sujet de suspension provisoire de la livraison”, au préjudice des malades. Des malades qui, malgré leur état, ont dû intervenir en décembre dernier pour faire appliquer la circulaire ministérielle stipulant la prise en charge du traitement de cette maladie par les services hospitaliers du secteur public. Hafiza M.