Bilan de la SÛRETE DE WILAYA de SAIDA 312 affaires traitées durant le premier trimestre La Sûreté de wilaya de SaIda a tenu avant-hier un point de presse pour faire part de la situation en matière de crimes et délits et autres infractions ainsi que des activités de cette structure et celles des sûretés urbaines et de daïra pour le premier trimestre 2008. Le bilan présenté et argumenté fait ressortir les chiffres ainsi que les efforts déployés par les policiers afin de respecter la loi et protéger les personnes et leurs biens. Ainsi pour le premier trimestre de l'année en cours et en matière de crimes et délits, 312 affaires ont été traitées, dans lesquelles 296 personnes ont été arrêtées, dont 255 hommes, 21 femmes, 18 mineurs et 2 ressortissants marocains. 131 personnes ont été placées sous mandat de dépôt, 126 seront citées pour des audiences et 39 ont bénéficié de la liberté provisoire. On relève 147 affaires de vol, 11 de stupéfiants, 43 de coups et blessures volontaires et 5 ayant trait à l'atteinte aux bonnes mœurs et à la résidence irrégulière. Pour ce qui est des accidents de la circulation, 12 ont eu lieu au chef-lieu de wilaya durant le mois de mars ayant causé des blessures graves à 13 personnes dont 7 enfants. Les causes sont, selon le chef de la Sûreté de wilaya, dues aux excès de vitesse et aux dépassements dangereux. 26 retraits de permis de conduire ont été effectués pour le non-respect du code de la route. F. Z. BECHAR Haï Mrah inondé Les habitants de HaI Mrah, du centre-ville de Béchar, se plaignent depuis plusieurs jours des eaux usées qui se déversent à ciel ouvert, d'un jardin abandonné, situé à proximité de leur quartier. Ces citoyens craignent la contamination de l'eau potable, si des infiltrations venaient à se produire. À proximité de la grande mosquée de cette cité, la chaussée est souvent inondée par ces eaux qui obligent les enfants à ne pas jouer devant leurs maisons. D'autres problèmes ont été relevés par les habitants de ce lotissement, tels que l'éclairage public et les ordures ménagères. Leurs inquiétudes ne s'arrêtent pas à ce niveau. Ils nous ont déclaré que pendant l'hiver, les eaux pluviales transforment leur quartier en plusieurs mares d'eau, gênant énormément la circulation des piétons et des automobilistes. Aussi, nous avons constaté que plusieurs ruelles de cette cité, qui a vu le jour il y a plus d'un quart de siècle, ne sont pas goudronnées et manquent de trottoirs et autres commodités nécessaires à une vie décente. Nos interlocuteurs souhaitent que les responsables locaux inscrivent des projets d'aménagement de cette cité, pour faciliter la circulation des eaux pluviales et pour embellir ce quartier. RACHID ROUKBI