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Le SNJ, un interlocuteur non reconnu par les autorités
Publié dans La Nouvelle République le 28 - 09 - 2012

Pour la clarté de la présentation, on peut distinguer à l'ère où la plupart des journalistes et des correspondants de presse accrédités vivent les conditions de pauvreté et de peur, pour ne pas dire qu'ils sont des persona non gratta, sans le sou et dont la plupart ne font pas dans les faiseurs de roi.
Les journalistes et les correspondants de la presse confirmée dans la wilaya de Mascara ne sont pas comme les boîtes de conserve vu qu'ils ne se reproduisent pas en série et s'autorisent des errances. Les journalistes précaires et les correspondants de presse dans la wilaya de Mascara, ne sont ni une marchandise à vendre, ni moins utilisés comme une pâte à modeler pour se voir en fin de compte balancé comme une vulgaire marchandise corrompus. Apres avoir déposé en bonne et due forme au niveau de l'Inspection du travail de la wilaya de Mascara, et ce, depuis plus de deux années, l'agrément sous le numéro 71/99 du mois de mars 1999 signée par le ministre du Travail et de la Protection sociale de l'époque, M. Hassan Laskri, le Syndicat national des journalistes a œuvré dans la conformité, et ce, pour défendre les intérêts moraux, et a vu les divers interlocuteurs approchés inexpressifs au vu des difficultés dans lesquelles se débat la corporation. Dans le même contexte, le procès-verbal d'installation de la section syndicale du SNJ bureau de wilaya de Mascara, accompagné des pièces justificatives, a vu un parcours similaire, c'est-à-dire, déposé au niveau de l'inspection, nonobstant un responsable à l'époque qui avait très mal approuvé ce dépôt de dossier, ce qui illustre cette mentalité rigide dans la wilaya de Mascara, où certains petits caporaux de service qui sont censés appliquer les lois de la République bafouent à hyperbole. Dans cette optique, il est important de souligner dans ce contexte navrant qu'on n'est pas du tout le porte-parole de l'ensemble de la corporation accréditée dans la wilaya de Mascara, mais exclusivement des membres du Syndicat national des journalistes, qui demeurent, malgré les coups bas, une évaluation non négligeable au vu du nombre des cartes d'adhérent remises aux divers confrères de la presse écrite, des journalistes de la radio et même des artistes de divers horizons qui ont rejoint le club de la presse vu l' insupportable vide dominant. C'est pourquoi il nous paraît utile, sans verser dans un quelconque réquisitoire contre les autorités au niveau de la wilaya de Mascara, de permettre à nos confrères dans le cadre de cet espace syndical de pouvoir marquer leur acte de présence, et ce pour pouvoir exercer les droits syndicaux dans un monde de plus en plus intégré, se dirigeant vers la globalisation et effaçant les frontières aux plans économique, technologique et institutionnel. C'est ce que le Syndicat national des journalistes (SNJ) tente de mettre en œuvre, en collaboration avec les quelques organisations valides de la société civile au niveau local et les différents syndicats autonomes dans un cadre de solidarité entre l'ensemble de ces composants. Dans le but de clarifier ses positions et d'expliquer le rôle du Syndicat national des journalistes stipulant les principes de respect de l'action syndicale, de développement professionnel et de garantie de la liberté du travail journalistique, tenant compte du caractère du service public en matière d'accès à une action à une information équitable, ce qui est loin d'être le cas dans la wilaya de Mascara, la section du bureau de wilaya de Mascara considère à ce niveau que la persistance de certaines pratiques autoritaires dignes des régimes bananiers de la part des responsables est contraire aux exigences d'amélioration des relations presse-administration, y compris les relations presse-justice, une des raisons pour laquelle le syndicat demande un peu plus d'égard à la profession et à la corporation sans toutefois interférer dans des sujets qui fâchent. Pour rappel, le SNJ, né d'un agrément sous le numéro 71/99 du mois de mars 1999, se veut une place ouverte au dialogue avec les autorités, dont le premier magistrat de la wilaya de Mascara, M. Ouled Salah Zitouni, fondé sur la compétence, la transparence et l'honnêteté, des valeurs de la République, pour mettre un terme à la souffrance de la marginalisation, de l'exclusion et de l'exploitation des journalistes et des correspondants de presse. Il s'est également avéré que des confrères vivant dans des conditions de précarité et de pauvreté souffrent depuis des années dans la douleur et les fausses promesses pour un prétendu logement décent. Le 2 mai 2012, le ministre de l'Habitat et celui de la Communication ont signé un accord visant à réaliser plusieurs programmes de logements au profit des journalistes précaires nécessiteux. Ces dispositions suffiront-elles à tenir la promesse de construire des logements pour les journalistes dans la wilaya de Mascara ? Depuis 2008, des correspondances ont été envoyées aux divers responsables qui ont foulé le territoire de la wilaya pour plaider une cause perdue et dont nos confrères accrédités qui ne sont pas d'ailleurs très nombreux à postuler à un logement décent dans la wilaya de Mascara vivent le martyre, sans toutefois connaître une issue favorable vu le népotisme régnant à l'égard de la presse indépendante. Nous sommes en effet convaincus que seule une démarche collective et globale dépassant largement le cadre des malentendus et les divisions qui ont le vent en poupe de faire aboutir les revendications légitimes des journalistes au niveau de la wilaya de Mascara, des journalistes qui demeurent les grands incompris de cette transition démocratique. Le Syndicat national des journalistes estime que le travail accompli et l'action à venir ne sont qu'une infime partie de la stratégie globale dans le domaine de la liberté de la presse et de l'information, qui ambitionne prochainement de créer une complémentarité et une solidarité agissante entre les différents secteurs. Le souhait de sortir le plus vite possible de cette situation précaire pousse certains de nos pseudo- confrères à tenter des coups pour se faire remarquer en haut lieu, ce qui ne peut que favoriser une animosité où l'unique dominateur demeure celui qui tire les ficelles. Heureusement que ces derniers ne sont pas nombreux dans la corporation et généralement conduisent à un journalisme de révérence. Pour conclure, il n'y a pas de liberté de la presse, quand des journalistes vivent des conditions de peur, de pauvreté et de corruption dont les divers pouvoirs au niveau de la wilaya doivent assumer leurs responsabilité pour ne pas encourager l'octroi de certificats de vertu à la profession à une caste de faiseurs de roi, qui malheureusement a trop abusé de leur position dominante pour se sucrer davantage sur le dos des journalistes précaires. N'en déplaise à certains bonimenteurs !

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