La direction de la JSK, et sauf revirement de dernière minute, devrait trancher aujourd'hui, la question du successeur d'Aït Djoudi, à la tête de la barre technique des canaris. La formation de la JSK est sur le point de clore définitivement son opération renfort, aussi bien de joueurs que de techniciens en prévision de la saison prochaine, à moins de trois semaines après le baisser de rideau sur le championnat. En attendant de clore le recrutement, la question brûlante au sein de la formation kabyle demeure la succession d'Aït Djoudi à la tête de la barre technique des Canaris. A ce propos, et après études des nombreux CV de techniciens, notamment étrangers, Hannachi et ses collaborateurs hésitent désormais entre deux techniciens. Il s'agit de Luis Fernandez et de Jean-Guy Wallemme, dont un devra être choisi, en principe aujourd'hui, pour clore définitivement le dossier de l'entraîneur. Et à en croire certaines indiscrétions, c'est l'ancien coach du RC Lens et de la sélection du Congo, Jean-Guy Wallemme qui serait en pole position. En sus de la barre technique, les responsables de la JSK veulent aussi clore avant le week-end, l'opération recrutement. Ainsi et après avoir conclu avec le jeune avant-centre de l'US Chaouia, Youcef Khoudja, lundi dernier, devenant la 11e recrue des canaris, il ne reste plus que quatre éléments avec qui les canaris ont négocié et desquels, ils attendent une réponse avant le week-end. Il s'agit de l'international espoir irakien Abderahim Karrar dont le manager est depuis deux jours à Tizi-Ouzou, et qui devrait vite trouver un accord avec la direction de la JSK, mais aussi des trois Sétifiens Ferahi, Delhoume et Ziti. Trois joueurs qui ont pour rappel, déjà négocié avec la direction kabyle et qui n'attend plus que leur réponse, avant ce week-end pour clore l'opération recrutement. Toujours côté effectif, si la direction a décidé de libérer officiellement le jeune meneur de jeu Aymen Madi, le cas de l'autre meneur, Sid-Ahmed Aouedj est loin d'être réglé. En effet, ce dernier devra choisir entre la baisse de son salaire que vient de lui proposer Hannachi et sa libération. Un choix délicat pour Aouedj, qui devra négocier ainsi, son nouveau salaire pour pouvoir poursuivre son aventure avec la JSK. Outre Aouedj, le cas de deux autres cadres, en fin de contrat, restent en suspens. Il s'agit de celui du capitaine Ali Rial et du deuxième portier, Nabil Mazari. Si le premier devrait rempiler à en croire quelques indiscrétions, le second devrait rencontrer Hannachi, ce week-end, pour être fixé sur la suite de son aventure avec la formation kabyle.