Le bilan de l'attentat terroriste perpétré contre une salle de concert (Crocus City Hall) à Moscou s'est alourdi et passe à 152 morts et plus d'une centaine de blessés. Au moment où le Krimlin a indiqué l'arrestation de onze (11) individus dont quatre assaillants impliqués dans cette attaque organisation terroriste de l'Etat islamique « Daesch » qui en a revendiqué l'attentat. Le bilan de ce carnage reste toutefois provisoire en raison de la gravité de l'état de santé des blessés ont annoncé les autorités Russes. Tout a commencé par une fusillade suivie d'un immense incendie qui s'est déclenchée dans la salle de concert (Crocus City Hall) ou se sont rassemblés des centaines de fêtards. Selon des témoins, un groupe d'individus armés en tenue de camouflage s'est introduit dans la salle avant de lancer plusieurs bombes et ouvrant le feu sur tout ce qui bouge. Les grenades lancées par les assaillants ont provoqué un immense incendie créant une grande panique à l'intérieur de la salle. L'alerte a été immédiatement donné et les forces de sécurité Russe ont bouclé le quartier alors que les services de secours tentent d'intervenir pour évacuer les personnes de la salle. Au moins une centaine de personnes ont été évacuées du sous-sol de la salle du concert ont annoncé des secouristes. Toujours et selon des témoignages, plusieurs enfants et enfants figurent parmi les morts et les blessés. Pour échapper à la mort plusieurs personnes qui se trouvaient dans la salle ont réussi à grimper sur le toit de l'immeuble et ont été secourus par les pompiers. La salle de concert de 13 000 m2 située à Krasnogorsk, à la sortie nord-ouest de la capitale russe qui a été visée par le groupe armé peut contenir jusqu'à six mille personnes, a-t-on appris. Le feu qui s'est propagé dans la salle a provoqué l'effondrement d'une partie du toit selon des secouristes. Au début de la fusillade, les autorités Russes et ceux de l'Ukraine se sont mutuellement accusés sur la responsabilité de cette fusillade. L'organisation terroriste de l'Etat islamique « Daech » a revendiqué l'attentat Finalement, ce n'est ni les services secrets Russes et ni les militaires de L'Ukraine qui étaient à l'origine de ce carnage. Tard dans la nuit, une dépêche de l'agence «Aamaq » a publié un communiqué de l'organisation terroriste de l'état islamique revendiquant le sanglant attentat. Par le biais des réseaux sociaux « Le télégram, l'état islamique a écrit je cite : « Nos vaillants Moudjahidines ont attaqué un grand rassemblement des mécréants chrétiens (...) dans les environs de la capitale russe Moscou». Nous avons donné ici, les déclarations des éléments de l'état islamique. Ce message a été partagé sur la page de l'organe de propagande de l'organisation terroriste Aamaq. « Nos combattants ont mené avec brio cette opération Djihadiste et se sont retirés dans leurs bases en toute sécurité » a ajouté le communiqué de l'Etat islamique. Dans l'attente de l'enquête ouverte par les autorités Russes, tout reste à croire que l'organisation terroriste de l'Etat islamique a voulu se venger du Kremlin sa défaite en Syrie. Pour rappel, l'armée Russe a aidé beaucoup la Syrie de Bachar El Assad dans sa guerre contre le terrorisme. Il faut également signaler que l'armée Russe a réussi dans son intervention en Syrie a faire d'une pierre deux coups à savoir : Les terroristes de l'Etat islamique et autres ont été vaincus et ledit « Printemps Arabe » a été enterré en Syrie par l'armée Russe». Washington aurait averti Moscou sur des éventuelles attaques terroristes à Moscou Les Etats-Unis d'Amériques auraient mis en garde la Russie il y a quelques jours contre une attaque terroriste susceptible de viser de «grands rassemblements» à Moscou, a déclaré la Maison Blanche hier, quelques heures après l'attentat. «Au début de ce mois, le gouvernement américain disposait d'informations sur un projet d'attentat terroriste à Moscou, visant potentiellement de grands rassemblements, y compris des concerts, et Washington a partagé ces informations avec les autorités russes», a déclaré Adrienne Watson, porte-parole du Conseil de sécurité nationale américain. Selon Adrienne Watson, le gouvernement du président Joe Biden a appliqué une politique de longue date de «devoir d'alerte», en vertu de laquelle les Etats-Unis préviennent les pays visés lorsqu'ils reçoivent des renseignements sur des menaces spécifiques d'enlèvements ou d'assassinats. L'ambassade américaine en Russie avait averti il y a deux semaines ses citoyens qu'elle « suivait de près des informations selon lesquelles des extrémistes ont des plans imminents de cibler de grands rassemblements à Moscou. En somme, au moment où nous mettons sous presse, le bilan provisoire de cette attaque s'élève à cent quinze morts et près de cent blessés, ont fait savoir les autorités Russes.