Les internationaux algérienns de la course hippique ont vécu l'enfer, cette semaine à la frontière algéro-tunisienne pour franchir l'axe frontalier afin de participer à l'événement international en Tunisie. La manifestation du grand prix mondial du président de la République de la Tunisie dont les participants des quatre coins ont réussi de rafler le ticket d'accès, mais les algériens ne savent plus a quel saint se vouer et sur quel pied danser. Depuis un mois, les cavaliers de renommée mondiale et les étalons avec un riche palmarès se retrouvent face à un obstacle de retourner chez eux bredouilles. Les propriétaires avec leurs propres moyens humains et matériels ont quitté la capitale pour rejoindre le lieu de l'événement, mais en vain. Au nombre de quatre chevaux l'un a réussi de franchir la frontière quant autres ont été exclus purement et simplement. Cette décision salutaire a poussé les députés d'interpeller le ministre de l'agriculture par une déclaration fracassante dont une copie remise à notre rédaction, demandent des explications. D'une part les amis et amoureux du cheval dont l'objectif de hisser l'emblème national sous le ciel de Tunisie et de rafler les premières places sur le podium , n'ont pas encore reçu les fameux carnets sanitaires et aucune suite n'a été donné des services vétérinaires.Tiaret connue par son élevage le paradis du cheval, la jumenterie et l'un des premiers centre équestre, le champ de course la fantasia et ses propriétaires de chevaux s'ajoutent les palmarès, et les festivités, est actuellement sous le choc de cette décision arbitraire de la part de certains personnes dont on ignore. Le rêve perdu d'un quatro de renommé international et ne participera pas au grand prix international au Palais Said prévu en Tunisie ce 19 avril.