Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a reçu mercredi, au siège de la présidence de la République, les sportifs algériens médaillés aux Jeux Olympiques Paris-2024, à savoir Kaylia Nemour (médaillée d'or en gymnastique), Imane Khelif (médaillée d'or en boxe) et Djamel Sedjati (médaillé de bronze en athlétisme). Une cérémonie mais aussi un message exceptionnel de l'Algérie aux détracteurs de ses représentants aux Jeux. Un événement qui marquera les athlètes qui ont su faire hisser l'emblème national sous le ciel français, alors que le scepticisme étouffait les pensées des organisations internationales et personnalités étrangères. Un clan qui refuse d'admettre la vérité des faits. La différence de l'offense, du déshonneur, de la honte programmée, l'objectif est de remettre en cause le droit des athlètes à être, là vivre, sans justification aux JO était visible. Mais il y avait en face l'arme de la sagesse, de l'intelligence, de la rage de vaincre, de l'énergie pour résister et il y a aussi à l'amour du pays pour étouffer les calomniateurs, les dénigreurs… La cérémonie de ce mercredi, en l'honneur des athlètes, est un message dont le contenu n'est pas difficile à décrypter. Rassurez-vous, toutes ces situations ne sont pas des manifestations au manque d'intelligence, mais d'une méconnaissance des types d'intelligence dominants de chacun qui peut nous mener à tellement d'incompréhension et d'impatience qu'il est fréquent qu'elle provoque des conflits. Evoluer, créer, augmenter la confiance et passer au haut niveau Ce sont ces personnes qui observent les victoires des algériens défilants qui avaient pourtant tout préparé, intelligemment pour savourer leurs ambitions. Une question nous vient à l'esprit, ces phénomènes amis des sionistes, ces détracteurs esclaves des temps modernes ont-ils la faculté de connaître et de comprendre comment fonctionne l'humain ? Ont-ils l'aptitude d'un être vivant disposé à s'adapter à des situations nouvelles, comprendre la signification de Victoire. Peu importe le mélange unique qui compose leur façon particulière d'appréhender la réalité, l'important n'est pas de mettre des étiquettes qui les stigmatise ou stigmatiser aient les autres, mais de les servir des types d'intelligence pour «comprendre la manière d'apprendre et de fonctionner de chacun, pour accepter et respecter les différences, pour évoluer, créer, augmenter la confiance et l'estime de soi et pour exploiter les ressources personnelles», disait un psychologue. Auront-ils la force de se libérer des astuces et stratégie sionistes pour lesquelles roulent plusieurs organismes de l'Occident. Les médaillés ont aussi été récompensés par le Groupe Sonatrach, lors d'une réception en leur honneur au siège de l'entreprise, en présence de Rachid Hachichi, Président-directeur général du groupe, du ministre de l'Energie et des Mines, Mohamed Arkab, du Secrétaire général du Comité olympique et sportif algérien, Khireddine Barbari, des parents et des entraîneurs des sportifs. Le Groupe Sonatrach a offert à Kaylia Nemour, Imane Khelif et Djamel Sedjati 4.000.000 de DA chacun, pour leur brillante participation aux Jeux Olympiques. Par ailleurs, Rachid Hachichi s'est engagé, au nom du groupe, à accompagner et à soutenir les trois sportifs dans leur préparation pour la prochaine édition des jeux Olympiques qui auront lieu, en 2028, à Los Angeles (Etats-Unis d'Amérique). Ce qu'ont dit les athlètes à la presse Nemour, Khelif et Sedjati n'ont cessé de remercier avant, pendant et après les JO Paris 2024, le président de la République Abdelmadjid Tebboune qui vivait lui aussi leur parcours, en les encourageant. «C'est aussi la médaille du président Tebboune. Il m'a toujours soutenue, c'est mon supporter numéro Un», disait Khelif dans une déclaration à la presse juste après sa consécration en finale de la boxe au Rolland-Garros à Paris. Kaylia Nemour accompagnée aussi de ses parents, a eu du mal à trouver les mots qu'il faut pour exprimer au président sa joie, son bonheur d'être à ses côtés ce jour, un rêve qui est le second après celui de la médaille d'Or qui se concrétise, et qu'elle n'oubliera pas l'appel du président de la République après sa victoire aux barres asymétriques, «inimaginable, à mon jeune âge, merci Monsieur le président. Je n'oublierai jamais ce que j'ai trouvé dans mon pays d'origine, l'aide et l'encouragement qu'il faut pour réaliser mon rêve, à savoir devenir championne olympique. J'étais aussi très motivée à relever le défi, car tout le monde était derrière moi et surtout le président de la République que je ne remercierai jamais assez». Enfin Sedjati, quant à lui, avoue «J'ai envie de dire tout simplement que cette médaille n'aurait jamais pu voir le jour sans l'aide précieuse de l'Etat et à sa tête le président Tebboune, je me suis engagé pour réussir et je le ferai, inchallah, je continuerai à travailler, c'est une mission que j'ai sur mes épaules».