«Dis-moi qui tu fréquentes, je te dirais qui tu es ! » dit l'adage. A l'annonce de la victoire d'Obama, le «monde» s'est cru délivré de la tyrannie des néo-conservateurs. Tous les espoirs furent placés en un président pas comme les autres. Oui, un métis à la tête d'une nation blanche. Une fois n'est pas coutume, dit-on. Mais que pourrait tirer le prestidigitateur de son chapeau ? Attention aux surprises ! Un président noir sous vaccin sioniste ? Oui, la réalité est accablante. La majorité des fonctionnaires qui ont intégré le cabinet Obama sont des acteurs reconnus du lobby sioniste financier juif de New York et appartenaient au gouvernement de l'ex-président Clinton. Voilà, donc, une partie du «mystère» qui s'éclaircit. On assiste donc, au recyclage de l'équipe Clinton. Certes Hillary Clinton fut la «candidate aux présidentielles» à l'origine du lobby, qui n'a choisi Obama que lorsqu'elle a commencé à chuter dans les sondages. Mais, le triomphe d'Obama ne modifia en rien la stratégie centrale : Bill Clinton, le président qui a le plus de succès auprès du lobby de la banque de New York, fera jouer son influence et orientera les décisions au sein du nouveau cabinet composé majoritairement de ses anciens fonctionnaires. A ce propos, la BBC affirme que nombreux sont ceux qui se demandent pourquoi Obama recherche autant de «Clintonistes recyclés», y compris une Clinton en chair et en os, après deux ans de campagne contre la «culture politique de Washington» et après une bataille féroce contre la sénatrice Hillary Clinton. En réalité Obama obéit au lobby sioniste libéral qui finança sa campagne et fit de lui le «phénomène Obama». A présent, le glas a sonné et le prestidigitateur n'a plus rien à cacher, car, la composition exclusivement «clintonienne» de l'équipe d'Obama remonte à la surface de l'eau de cette mare qui semblait trouble, bien que la presse américaine fasse «celle qui ne comprend pas» et préfère parler de «défi» que devra surmonter le président élu face à la crise financière. Toutefois, ce que cette presse omet de mentionner est ce «miraculeux hasard» du prestidigitateur qui a tiré un lobby juif sioniste du chapeau d'Obama sous la cape de Clinton. La preuve accablante des faits est donc plus forte que la manipulation médiatique qui tente de générer une attente de «changement» dans la politique impériale. La réalité montre qu'Obama s'est finalement laissé emprisonner par la logique du pouvoir sioniste : Joseph Biden, vice-président (contrôle du lobby sur la Maison-Blanche), Rahm Emanuel, chef du cabinet (contrôle du lobby sur l'environnement d'Obama), Timothy Geithner, secrétaire au Trésor Public (contrôle du lobby sur le système de la Réserve Fédérale), et Hillary Clinton, secrétaire d'Etat (contrôle du lobby sur la politique extérieure). Le plus haut niveau de décision politique, les postes de l'exécutif et l'entourage d'Obama président, le plus haut niveau de décision économique financière et l'exécution de la politique extérieure (le cœur de l'empire) vont se retrouver entre les mains d'acteurs du lobby juif sioniste (en version libérale) de la «grande pomme» bancaire de New York. En résumé, la Maison-Blanche (le pouvoir politique), le Trésor Public (le pouvoir financier), le Département d'Etat (le pouvoir impérial) et le Pentagone (le pouvoir militaire qui restera aux mains de Robert Gates) répondront aux intérêts stratégiques du lobby juif qui gouvernera les Etats-Unis auprès d'Obama telle une «cerise sur le gâteau». Alors qui croit encore qu'Obama sera capable de mettre fin au conflit p^alestino-sioniste, surtout que 280 000 colons juifs continuent leur spoliation des terres palestiniennes