,Précédemment appelé «TAS», Tribunal arbitral des sports, cet organe sous l'égide du COA est devenu, officiellement «TARLS», Tribunal arbitral des règlements des litiges du sport. Une journée d'études et d'information aura lieu demain à la salle des conférences du COA à Ben Aknoun (Alger). Cette information qui a été confirmée par le président du COA, maître Ben Belkacem à un confrère, sera marquée par l'instance olympique afin de redynamiser cet organe important dans le respect des lois. Plusieurs thèmes seront abordés lors de cette journée, tels que les règlements des litiges, la médiation, l'arbitrage et la conciliation. Le CIO a recommandé au monde du sport de recourir à l'arbitrage par le biais des TAS obligatoirement mis en place au sein de tous les Comités olympiques et en dernier par le biais du TAS de Lausanne (Suisse) comme dernière autorité des sports pour les problèmes non résolus par les TAS nationaux, selon les statuts du COA. Il est regrettable de constater que toutes les affaires en litige sont toujours sur le bureau du COA. Le TAS algérien ne joue pas bien son rôle pour qui la direction est confiée souvent à des personnes de hauts rangs. Ces dossiers ne cessent pas de s'accumuler. Les conséquences qui découlent de ce constat ont fait que les revendications ont fini par atterrir auprès TAS de Lausanne. Pour rappel, l'affaire RCK-USMH où le TAS a instruit la FAF d'intégrer le RCK en DI. Les décisions du TAS sont exécutoires. La FAF déplore l'ingérence et voilà pourquoi maintenant ces instances du sport veulent réactiver le Tribunal des sports afin d'éviter les erreurs du passé. La réhabilitation est obligatoire et doit se faire au plus vite, car plusieurs affaires restent toujours en litige et font profiter leurs hauteurs à l'image de l'affaire des 28 clubs au football amateur. Ce litige qui reste toujours en suspens vis-à-vis des clubs concernés ne peut être traité que par le tribunal de résolutions. Pour cela, sa réactivation donnera une bouffée d'oxygène quant à leur sort.