Rythmes, couleurs, malouf, haouzi et variétés kabyles, ont fait vibrer, dimanche soir, le TRA Azzedine Medjoubi pour l'avant-dernière soirée du festival de la chanson et musique citadine avec au programme les artistes Leïla Ben Merah (haouzi), Layachi Dib (malouf) et Lassa (chants et danses kabyles). DANS SON GENRE, HAOUZI, LA CHANTEUSE DE TLEMCEN A SEDUIT L'ASSISTANCE EN INTERPRETANT «ALLAH MASSALI ALA EL MOSTAFA» ET «GHOZAL LI WALEFTOU» PAR SA VOIX DUCE, ET SON ELEGANCE. «J'AIME CETTE VILLE CULTURELLE ET J'Y REVIENDRAI» DIRA-T-ELLE AU GRAND PUBLIC. TANDIS QUE L'ENFANT DU BLED, LE FILS DE LA VIEILLE VILLE, MALGRE LA FATIGUE DE SA TOURNEE A TRAVERS LES VILLES, LAYACHI DIB A CHARME L'ASSISTANCE EN CHANTANT LE MALOUF COMME A SES VINGT ANS, AVEC UN EXCELLENT ACCOMPAGNEMENT MUSICAL, AU POINT OU IL A PERMIS AU PUBLIC DE SE REPLONGER DANS LE PASSE, EN CHANTANT «ANA LEMDALAL» ET «HAMAR HAMAR YA EL MADANI». DES CHANSONS PUISEES DE SON RICHE REPERTOIRE ONT SUSCITE L'ADMIRATION DES NOSTALGIQUES QUI ONT APPLAUDI. LA CLOTURE DE CETTE SOIREE A ETE FAITE PAR LA CHANTEUSE KABYLE DE TIZI OUZOU MASSA QUI A CREE UNE AMBIANCE ELECTRIQUE, EN ANIMANT UNE SALLE PLEINE PAR SES CHANTS ET DANSES RYTHMEES AU BONHEUR DES FEMMES.