Pourquoi George W. Bush, qui a été invité d'honneur au dîner de gala de la communauté juive en faveur d'Israël, a annulé son voyage pour Genève laissant les sionistes dans l'attente et l'embarras ? Comment l'ancien Président du plus puissant Etat dans le monde avait soudainement pris peur et a annulé son voyage et ne s'est pas rendu chez ses semblables sionistes à Genève ? Pourquoi ce sinistre personnage, ne se montre plus en public après son départ de la Maison Blanche…? Pour connaitre les raisons, nous devons savoir d'abord, que ni les Arabes ni les Musulmans ont inquiété Bush, Mais se sont les lois et les conventions internationales qui ont placé George W Bush dans le même banc d'accusation que Kadhafi, Omar El Bachir ou les dirigeants Serbes. On sait que, L'organisation sioniste Karen Hayessoud, bailleur de fonds de''l'état d'Israël'' avait invité l'ex-président des Etats-Unis, George W Bush, samedi 12 février 2011, pour un dîner annuel regroupant 600 invités dans les salons de l'hôtel Président Wilson de Genève. Ce dîner annuel est l'équivalent de celui organisé en France par le CRIF le Conseil représentatif des institutions juives de France, qui a eu lieu le mercredi 9 février 2011, à Paris, avec pour invité d'honneur Nicolas Sarkozy. Sur la carte d'invitation, on peut lire au verso, cette citation de George W. Bush prononcée en 2008 lors du 60ème anniversaire de ‘'l'Etat juif'' : "Vous avez créé une société moderne sur la terre promise, une lumière pour les nations qui préservent l'héritage d'Abraham, Isaac et Jacob et vous avez construit une démocratie puissante qui durera éternellement". Le porte-parole de George W. Bush, David Sherzer, avait confirmé à cette date l'annulation de sa visite à Genève en précisant qu'elle avait été organisée par l'association caritative juive United Israël Appeal (Appel unifié pour Israël) liée à la Fédération juive d'Amérique du Nord. L'annonce de la venue de George W. Bush à Genève, ex-président américain ayant autorisé le waterboarding ou simulation de noyade, a entraîné 2 réactions majeures en Suisse. La première, politique de tous bords, d'un "Collectif pour l'application des conventions de Genève et contre l'impunité pour les criminels de guerre". Collectif qui a adressé une plainte à la présidente de la Confédération helvétique à Bern, Mme Micheline Calmy-Rey, au procureur général de Genève Mr Daniel Zappeli et au procureur général de la Confédération Mr Erwin Beyeler. OMCT a appelé la Suisse à ouvrir une enquête contre Bush La seconde réaction, officielle, émane de l'Organisation mondiale contre la torture (OMCT) dont le siège est à Genève, qui appelé jeudi 3 février 2011 la Suisse à ouvrir une enquête pénale contre George W. Bush, pour "violation de la Convention des Nations unies contre la torture ". L'OMCT constitue la principale coalition internationale d'organisations non gouvernementales (ONG) luttant contre la torture, les exécutions sommaires, les disparitions forcées et tout autre traitement cruel, inhumain ou dégradant. Elle est composée de 297 organisations affiliées dans le monde à son Réseau SOS-Torture qui fait de l'OMCT, le plus important réseau d'organisations non gouvernementales actives dans la protection et la promotion des droits de l'homme dans le monde. A Genève, un collectif de gauche genevois demandait également à ce que George W. Bush soit arrêté pour "crimes de guerre et crimes contre l'humanité". Idem pour l'Union démocratique du centre, UDC. L'ONG américaine, Human Right Wash demande qu'on lance un mandat d'arrêt international contre George Bush et ses proches collaborateurs pour crime contre l'humanité. Ces proches collaborateurs sont Dick Cheney, Donald Rumsfeld et George Tenet. Dans un rapport publié ce mardi, HRW a demandé que Bush devrait être poursuivi pour avoir autorisé la torture et beaucoup d'autre crimes Les principaux juristes suisses spécialistes des droits de l'homme considèrent que la simulation de noyade à l'encontre de prisonniers capturés en Afghanistan ou en Irak est une forme de torture contraire à une convention internationale de 1987 que la Suisse comme les Etats-Unis ont ratifiée. Si les autorités helvétiques ont prévenu que George W. Bush jouissait d'une certaine immunité pénale en tant qu'ex-président, l'OMT a répondu qu'il "n'existe aucune loi octroyant un statut particulier" aux anciens chefs d'Etat. Enfin, le Collectif Urgence Palestine de Genève, qui a appelé à une manifestation pacifique devant la poste du Mont-Blanc à Genève, samedi 12 février 2011, estime que la Suisse va devenir le lieu d'escale pour tous les dictateurs et les criminels de guerre et de paix et a demandé aux manifestants de venir avec une vieille chaussure. George W Bush a consulté les avocats et les juristes à ce sujet, mais ils lui ont tous confirmé qu'il risquait d'être arrêté et accusé de crimes de guerre. Depuis ce sinistre personnage ne se montrait plus en public et ne voyage plus en dehors des Etats-Unis. Quant il se déplace il le fait dans le secret le plus absolu. Voilà comment il termine George W Bush sa vie en emboitant le pas aux anciens nazi qui ont vécu en cachette le restant de leur vie.. Sur ce sujet, la chaîne Qatarie ‘'Al Jazeera'' ne souffle aucun mot. Rien sur l'oncle Bush !