De source généralement bien informée, l'on apprend que le groupe Mazouz a acheté la briqueterie de Frenda laquelle était propriété de la SARL « Boumerdes » dirigée par 2 investisseurs associés en soulignant que cette briqueterie employait plus de 100 pères de famille et qu'après 5 mois seulement de son inauguration par M. le wali, et suite à des malentendus des deux associés-investisseurs, c'est le groupe Mazouz à travers son représentant en la matière, M. Feghouli un jeune investisseur talentueux et ambitieux, qui a décroché ce projet, faudrait-il le souligner, le plus prometteur sur le territoire de la wilaya. Certains milieux qui évoquaient le problème de la pollution se sont vite évaporés dans la nature après que l'information de cette vente a fait le tour de la région, et l'on avance un prix de 60 milliards de cts sans le montant du crédit alloué par la BDL et lequel est estimé à plus de 160 milliards de cts. Par ailleurs, l'investissement dans l'agro-alimentaire est devenu « énigmatique », cela en dépit d'une région agro-pastorale et dont le potentiel, comparativement à d'autres wilayas, et sur le volet réflexion, prend le dessus, et l'on ignore les mobiles des grandes réticences et hésitations des opérateurs économiques, cela malgré les grands efforts fournis par M. le wali, Hadj Mohamed Bousmaha, lequel n'a cessé à multiplier les appels à qui de droit pour accélérer la cadence du développement économique de la wilaya, et à lui seul, revient l'honneur d'avoir laissé des empreintes éternelles dans la conscience du temps, à l'exemple du projet de la raffinerie de pétrole, le grand pôle administratif ainsi que le projet de réalisation de la nouvelle ville de Tiaret, le fameux salon du cheval, la rénovation de la piste d'atterrissage de l'aéroport d'Ain-Bouchekif, etc. Un bilan qui fait ravir sans pour autant citer, la levée du voile sur l'épineux problème du foncier qui a fait sortir la commune de Djillali Ben-Ammar de l'anonymat ceci-dit, M. le wali a toujours un vœu pieux, le lancement du projet de production de levure dans la commune de Takhemaret, et lequel projet pourrait absorber quelques 150 emplois apprend-on auprès d'une source proche d'ERRIAD laquelle est sollicitée à rénover l'équipement de la semoulerie de Frenda, et qui date depuis 1952.