La majorité de la population de Takhemaret (wilaya de Tiaret) sait que M. le wali Hadj Mohamed Bousmaha applique à la règle les instructions du Code Communal et plus précisément l'article 43 qui stipule que tout élu poursuivi en justice est automatiquement suspendu jusqu'à ce qu'il soit prouvé son innocence par l'autorité compétente. De ce fait, les citoyens menaceraient certains élus de poursuites judiciaires tantôt par des inventions d'affaires improvisées à leur encontre et des fois par des correspondances anonymes. Ce qui a été de visu remarquable à Takhemaret, c'est cette volonté féroce de déstabilisation de l'APC et l'exemple illustratif après la suspension d'un élu ( ex-P/APC) voilà venu le tour à deux autres qui comparaîtront prochainement devant le tribunal de Frenda et lesquels sont accusés d'insultes et d'injures à l'encontre de citoyens qui ont demandé leur quota de logements ruraux. En ce sens, un élu parmi ces deux a déclaré à "Réflexion" qu'il détiendrait un dossier qui va déranger l'APC. Pour sa part le P/APC, M. Derrouiche Kadda nous dira que monsieur le wali est bien informé de tout ce qui se passe à Takhemaret, il ajouta « j'ai fait tout mon effort pour garantir une stabilité sans rivale à cette APC qui faudrait-il le rappeler a été bien aidée par monsieur le wali Hadj Mohamed Bousmaha en matière de développement économique. Les élus ont la peur au ventre à entendre l'article 43! »