Mostaganem, aujourd'hui capitale internationale ‘'pour la lutte contre la violence et le vivre ensemble, un titre qui honora les mostaganémois et glorifia, cheikh Khaled Bentounes, l'organisateur du colloque. La ministre de la solidarité, Mme Mounia Meslem, présente depuis hier à Mostaganem pour présider la cérémonie d'ouverture vient de donner espoir aux 1400 cancéreux de Mostaganem, en leur promettant de défendre le projet de réalisation d'un CAC à Mostaganem, en tant que ministre et en tant qu'avocate. Voilà le bon cadeau de la ministre tant attendu par les mostaganémois ! En marge de sa visite à la wilaya de Mostaganem, pour présider la cérémonie d'ouverture du colloque international sur le thème ‘'contre la violence, le vivre ensemble'', organisée par la fondation méditerranéenne du développement durable dénommée ‘' Janatou al-Arif ‘' sous le haut patronage de son excellence le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, très à l'aise, sur le plateau de la radio régionale de Mostaganem, en compagnie de M. le wali Temmar, la ministre de la solidarité , Mme Mounia Meslem a révélé, qu'elle plaidera devant le gouvernement le projet de la réalisation d'un centre anti cancer (CAC), et elle fera de son mieux pour convaincre le ministre de la santé de la nécessité d'un tel projet sur le sol de Mostaganem , qui sera d'une importance capitale pour la prise en charge des malades cancéreux de la wilaya de Mostaganem et les autres wilayas limitrophes , pour mettre un terme aux douleurs des malades ,qui font des navettes d'une centaine de kilomètres pour une séance de radiothérapie. A la question du journal Réflexion, concernant la demande de la population de Mostaganem pour la réalisation d'un CAC à Mostaganem, la ministre, a répondu qu'elle défendra le projet devant les grandes instances de l'Etat aussi bien qu'en tant que ministre de la solidarité mais aussi qu'en tant qu'avocate faisant allusion à sa fonction précédente, avant d'ajouter que le wali Temmar lui aussi avait abordé avec elle la question. Pour ce qui est du célèbre évènement qui élève Mostaganem aujourd'hui au rang des grandes , capitales de l'Algérie et du monde entier en matière de la lutte contre la violence, la fondation ‘' janatou al-Arif ‘' dirigée par le fils de Mostaganem,- l'illustre Bentounes Khaled , Chikh zaouïa "El Alawiya", le messager de la paix à travers le monde , qui ne cesse de plaider la cause (vivre ensemble sans violence ) dans les différents pays de la planète et dans toutes les manifestations internationales -, organise ce mardi en collaboration avec l'association internationale soufie alawiya ‘'AISA'', à l'auditorium de l'université "Abdelhamid Ibn-Badis" à Kharouba un colloque international sur le thème ‘'contre la violence, le vivre ensemble'' qui sera inauguré par la ministre de la solidarité qui a choisi Mostaganem pour prouver qu'il n'y a aucune différence entre Alger ou Mostaganem ou d'autres wilayas du pays, un message pour dire au monde que l'Algérie c'est 48 wilayas, et que le gouvernement insiste que toutes les wilayas doivent être présentes dans les évènements nationaux ou internationaux. Notons que cette rencontre de dimension internationale verra également la participation de plusieurs personnalités de renommée internationale, tels que Kamel Chekkat, membre et fondateur de la ligue des oulémas du pays du Sahel, Mohamed Djamel Abou Alhannoud, représentant de Youssef Idais Al-Sheikh, ministre du Wakf et des Affaires religieuses de la Palestine, et Mr. Mustapha Ceric, grand mufti de Bosnie-Herzégovine. Ce colloque sera animé par des conférenciers de haut rang qui traiteront de divers sujets relatifs à la lutte contre la violence en général et plus particulièrement à l'égard des femmes dont beaucoup en souffrent quotidiennement. Une table ronde ayant pour thème ‘' La réconciliation et la médiation comme moyens du "mieux vivre ensemble'' et la projection d'un film documentaire ‘'Islam, voix des femmes'' seront également programmés et clôtureront ce colloque qui tend à promouvoir une citoyenneté responsable et de développer une culture de paix, qui reste la principale base du "vivre ensemble" sans violence.