Hier, dimanche, il était presque neuf heures du matin, quand un agent motorisé de la sureté de la Wilaya de Mostaganem, de passage par Beymout, constata une infraction flagrante au code de la route de la part d'un taxieur dont le véhicule était mal stationné. Ces infractions fréquentes au code de la route sont fréquentes en pareil endroit où la circulation est devenue difficile. L'étroitesse du rond-point est dû non seulement à son périmètre, mais également au nombre de taxis. Et si les automobilistes trouvent une gêne à se frayer un passage, c'est que l'afflux de piétons de piétons devient de plus en plus important pour s'approvisionner en poissons, fruits, pains ou carrément casser la croûte. La pluie battante n'a pas eu raison de ces pères de familles. Ils ne décolérèrent que vers dix heures. Les usagers étaient « presque solidaires » avec ces chauffeurs professionnels. Selon, une usagère, l'endroit est idéal et leur octroyer une autre aire de stationnement leurs porterait préjudice en matière de rentabilité. Contacté par nos soins, un jeune taxieur m'affirma que son collègue verbalisé était en infraction, l'agent de l'ordre n'a fait que son devoir avec respect politesse et notre débrayage a été décidé pour attirer l'attention des autorités concernées, afin de nous faciliter la tâche. Est-ce les taxis desservant les cités Chemmouma et Zaghloul à partir de la station de Beymout qui sont en surnombre ou est-ce la station de Beymout qui est exiguë ? Le dilemme est là et se pose toujours.