Des citoyens horrifiés par ce qui arrive au jardin public qui date du 18émé siècle, après que les services de l'APC aient abattu un arbre qui à plus d'un siècle d'âge pour réaliser à sa place un parc pour leurs véhicules. Après tout ce qu'a subi ce lieu de détente et de villégiature, les citoyens s'élèvent contre cette pratique et demandent sa restitution avant qu'il ne soit trop tard. En effet abattre un arbre qui à plus d'un siècle d'âge, et plus encore utiliser le tronc de cet arbre centenaire au ferraillage comme l'indique « la photo », relève bien d'un sabotage pur est simple. Hadj Hamou, un notable âgé de prés de 80 ans, nous dira : « Un tel acte est plus que répréhensible, "Si vraiment il y avait une autorité digne de ce nom, elle aurait pris des mesures, contre quiconque oserait s'attaquer à de tels trésors, et d'ajouter, ces dernières années, nous avons assisté à l'une des pires catastrophe environnementale jamais produite ailleurs, regardez ce qu'ils ont fait de ce jardin". Un agent de l'APC qui a voulu garde l'anonymat ajoutera : "C'est un grand point d'interrogation à mettre sur le compte de qui, là est toute la question et nous nous demandons à qui la posé, ne serait ce que pour savoir quel est le but poursuivit et pourquoi". Un ancien directeur d'école écœuré, fera la remarque suivante à notre équipe de rédaction : "C'est la goutte comme qui dirait, qui fait déborder le vase, cela ne s'est jamais vu ailleurs exception faite à Mostaganem, c'est vrai il y a de quoi être furieux lorsque l'on se rend compte tout à coup que les gens n'on plus aucun respect ni pour la nature, ni pour le bien être des autres". "Que veut dire l'environnement pour ces personnes, qui ont fait de la ville de Mostaganem un désert, nous dira une jeune fille. " Nous avons à faire à des êtres nuisibles, qui ont apporté avec eux une sorte d'apocalypse, dans cette ville" Ou sont passés depuis tous les espaces verts, qui existaient, à savoir: Les arbres qui faisaient le charme de cette cité et qui en l'espace de quelques années, ont été abattus et coupés, alors qu'il a fallu de longues années pour qu'ils deviennent ce qu'ils ont été voire des siècles. Platanes, acacias, cyprès, chênes, mimosas et autres espèces ont disparus complètement, avec toute une variété de végétation qui égayait la cité pour ne retrouver, à la place que désolation aujourd'hui. conclura-t-elle. Le silence et le mutisme de la tutelle a peut-être encouragé, l'œuvre destructrice de ces élus, et leurs donnent l'occasion de continuer à dénuder cette ville des quelques arbres qui restent. Résultat , bal incessant des véhicules qui circulent durant toute la journée, avec l'ouverture d'un nouvel accès, qu'on a même goudronné expressément, pour ces messieurs, un passage exclusive entre deux arbres, qui ont plus de 150 ans d'âge que l'on vient de condamner à une mort certaine, juste parce que nos préposés à l'APC et nos élus puissent garer leurs véhicules, à proximité de leur lieu de travail. Quant aux responsables de l'APC selon le maire que nous avions questionné au sujet de l'abattage de ces arbres il dira qu'il était dans l(obligation d'ouvrir un accés au milieu du jardin pour réaliser un parking pour les véhicules de service aussi il à ajouter que par la même occasion il à profité pour effectuer des travaux de canalisations des eaux usées du bloc de la DRAG a savoir ,que le service en question a due faire face pendant des années a l'absence de sanitaires .