Les habitants de Misserghin et Boutlelis, travailleurs et écoliers, accusent quotidiennement un retard pour arriver à leur activité à Oran à 8 heures, et cela pour le simple motif des deux barrages sur l'axe de leur chemin et qui constituent un bouchon infernal chaque matin avant 8 heures. Si le poste de la gendarmerie au niveau du projet Sonelgaz est fluide par moment, celui de la police au niveau des amandiers et très compliqué et provoque un vrai bouchon long de plusieurs centaines de mètre qui se termine par des balises qui ne permettent le passage que d'un seul véhicule qui rencontrera aussi une immobilisation au carrefour, puis avec l'arrêt anarchique des bus qui font fi de la réglementation et du code da la route en s'en immobilisant au milieu de la chaussée et à la vue des agents de l'ordre. Les observateurs, trouvent ce barrage «serré inutilement » du moment qu'aucun véhicule n'est contrôlé pendant la condensation du mouvement, autant libérer la circulation et la réglementer au carrefour, si aucun projet de réalisation d'une trémie n'est à l'horizon !