“La culture intellectuelle est l'art astucieux de l'exagération et de la dérobade devant l'essentiel.”, Franz Werfel Le rôle de l'intellect est d'être avec son peuple et critique contre le pouvoir, l'injustice, la hogra et non pas de mépriser sa communauté ! La critique saine se fait toujours en deux parties ; 1- rendre compte de l'état des faits sans concession et ni dénigrement !!! 2- proposer des solutions dans l'éducation, la culture , les arts, la technologie Daoud ne répond à aucune des définitions reconnues de ce qu'est un intellectuel. C'est plus un médiatique populiste qui surfe dans la vague de l'indignation. Daoud n'a premièrement aucun outil cognitif de savoir académique universel qui le met dans cette catégorie d'intellect ; une simple licence en journalisme dans une université algérienne ou les sciences sociales sont un refuge, ensuite des décennies dans un journal algérien ; une insulte a tous nos professeurs de lettres qui enseignent la cognition, l'histoire, l'anthropologie, la sociologie, le journalisme, et l'intellect …. Daoud n'est pas un Mohammed Akroun qui a enseigné à la Sorbonne Il n'a développé aucun concept, paradigme, métaphore, et surtout aucun humanisme. Il n'a fait aucun engagement ou bénévolat pour aider son peuple dans sa révolte, sa cognition, ou sa libération devant le courage de nos jeunes qui sont emprisonnés pour le combat pour la liberté On ne lit que du sarcasme, de la haine soi, de l'arabe, du musulman, et du bas peuple que nous sommes avec aucune empathie !!! Daoud ne renoncera jamais à son métier car c'est tout ce qu'il sait faire pour gagner sa vie comme le font beaucoup de politiciens et de médiatiques ; vivre de la honte et ce n'est même pas du journalisme objectif ou résistant à l'injustice et la crétinerie tel que l'on enseigne dans les académies et pratique. Il ne fait que pondre des grands mots honteux qui maudissent l'obscurité non pas de l'autre mais celle qu'il a en soi et qu'il réfléchit sur les autres ; le peuple ! avec le bel usage de la belle langue de Molière qui n'est pas un butin d'une guerre qu'on n' a jamais gagné mais comme un cheval de Troie qui nous produit des virus cultivés, alors que l'univers s'exhibe majestueusement du quantique au cosmique, de la flore a la faune, de Socrate a Kant. La cognition a de quoi étaler toute sa splendeur, imaginaire, son génie, et son ingéniosité. Le journalisme algérien sous la main du pouvoir est un métier de misère pour des misérables, hacha ceux qui résistent encore à la laideur et dont on n'entend pas la voix. Daoud n'est ni un intellectuel, ni un journaliste, et encore moins un penseur académique, mais un opportuniste médiatique populiste, et malin car il sait l'art et la manière d'attirer l'attention médiatique ; par la provocation ; un pur produit zemourien ! rien de nouveau manufacturé par le sionisme médiatique francophile ; le Point qui dit de Daoud qu'il a secoué le Monde … le ridicule ne tue point Les néons attirent toujours les mouches. Seuls les aigles peuvent regarder le soleil en face sans se faire aveugler ou se faire crever les yeux comme Œdipe ! un complexe œdipien ? Le peuple n'est pas dupe et a le bon sens pour savoir différentier entre l'or et la féraille corrosive.