Le mouvement espagnol solidaire avec le peuple sahraoui vient de renouveler lors de la conférence des villes solidaires avec le Sahara occidental, tenue à Valence durant cette semaine, son engagement à défendre cette cause jusqu'à ce que ce peuple recouvre sa liberté. Dans une déclaration publiée sur le site de la coordination espagnole des associations solidaires avec le Sahara (ceas-Sahara), le mouvement de solidarité représentée par les responsables d'associations, d'organismes et de partis politiques ont réitéré à l'issu de la conférence de Valence son "soutien à l'Union africaine dans son rôle important dans la résolution du conflit au Sahara occidental occupé", rappelant que le Sahara Occidental est un territoire non autonome soumis au droit international qui n'a jamais appartenu au Maroc, et par conséquent, le mouvement espagnol de solidarité avec le peuple sahraoui exige que "l'occupation illégale du Sahara Occidental cesse", en insistant sur le droit du peuple sahraoui d'exercer son autodétermination. La conférence a également souligné l'importance historique de l'arrêt de justice de la CJUE du 21 décembre 2016 qui a conclu que "les accords d'association conclus entre l'Union européenne et le Maroc ne sont pas applicables au Sahara occidental", en exprimant par ailleurs son indignation devant les violations continues des droits de l'homme dans le Sahara occidental occupé et la justice politisée du Maroc qui condamne les militants sahraouis à des peines sévères pour avoir réclamé le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination. Le mouvement espagnol solidaire avec le peuple sahraoui soutient également toutes les actions qui sont menées en faveur de la libération des prisonniers politiques sahraouis et insiste par ailleurs pour que les compétences de la Minurso soient élargies à "la protection des droits de l'homme au Sahara occidental". La conférence des villes solidaires avec le peuple sahraoui a également exigé de l'Union européenne d'appliquer la clause relative aux droits de l'homme établie dans l'accord préférentiel avec le Maroc tout en félicitant par ailleurs, l'Union nationale des femmes sahraouis pour son rôle courageux et déterminé accompli dans les camps de réfugiés, tout en dénonçant les violations des droits de l'homme dans les territoires occupés avec "une référence spéciale aux femmes disparues dans ces territoires". Dans sa déclaration finale, la conférence du mouvement de solidarité avec le peuple sahraoui exhorte les administrations publiques espagnoles à continuer, et si possible d'accroître, la solidarité et le soutien humanitaire à la fois aux populations réfugiées dans les camps et aux habitants sahraouis des territoires occupés. L'augmentation de la coopération et des aides humanitaires destinées à la population sahraouie leur permettra de "maintenir des conditions de vie dignes", précise le même document. La conférence a enfin invité tous les médias à mettre plus de visibilité sur ce conflit avec la même importance et pertinence conférées à d'autres questions tout en encourageant les gens solidaires avec la cause sahraouie à diffuser et ? dénoncer par le biais des réseaux sociaux, les conditions difficiles dans lesquels vit le peuple sahraoui, contraint à l'exil depuis plus de 40 ans. Dans une déclaration publiée sur le site de la coordination espagnole des associations solidaires avec le Sahara (ceas-Sahara), le mouvement de solidarité représentée par les responsables d'associations, d'organismes et de partis politiques ont réitéré à l'issu de la conférence de Valence son "soutien à l'Union africaine dans son rôle important dans la résolution du conflit au Sahara occidental occupé", rappelant que le Sahara Occidental est un territoire non autonome soumis au droit international qui n'a jamais appartenu au Maroc, et par conséquent, le mouvement espagnol de solidarité avec le peuple sahraoui exige que "l'occupation illégale du Sahara Occidental cesse", en insistant sur le droit du peuple sahraoui d'exercer son autodétermination. La conférence a également souligné l'importance historique de l'arrêt de justice de la CJUE du 21 décembre 2016 qui a conclu que "les accords d'association conclus entre l'Union européenne et le Maroc ne sont pas applicables au Sahara occidental", en exprimant par ailleurs son indignation devant les violations continues des droits de l'homme dans le Sahara occidental occupé et la justice politisée du Maroc qui condamne les militants sahraouis à des peines sévères pour avoir réclamé le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination. Le mouvement espagnol solidaire avec le peuple sahraoui soutient également toutes les actions qui sont menées en faveur de la libération des prisonniers politiques sahraouis et insiste par ailleurs pour que les compétences de la Minurso soient élargies à "la protection des droits de l'homme au Sahara occidental". La conférence des villes solidaires avec le peuple sahraoui a également exigé de l'Union européenne d'appliquer la clause relative aux droits de l'homme établie dans l'accord préférentiel avec le Maroc tout en félicitant par ailleurs, l'Union nationale des femmes sahraouis pour son rôle courageux et déterminé accompli dans les camps de réfugiés, tout en dénonçant les violations des droits de l'homme dans les territoires occupés avec "une référence spéciale aux femmes disparues dans ces territoires". Dans sa déclaration finale, la conférence du mouvement de solidarité avec le peuple sahraoui exhorte les administrations publiques espagnoles à continuer, et si possible d'accroître, la solidarité et le soutien humanitaire à la fois aux populations réfugiées dans les camps et aux habitants sahraouis des territoires occupés. L'augmentation de la coopération et des aides humanitaires destinées à la population sahraouie leur permettra de "maintenir des conditions de vie dignes", précise le même document. La conférence a enfin invité tous les médias à mettre plus de visibilité sur ce conflit avec la même importance et pertinence conférées à d'autres questions tout en encourageant les gens solidaires avec la cause sahraouie à diffuser et ? dénoncer par le biais des réseaux sociaux, les conditions difficiles dans lesquels vit le peuple sahraoui, contraint à l'exil depuis plus de 40 ans.