Longtemps cataloguée comme zone sensible, la nouvelle ville Ali Mendjeli de Constantine bénéficie d'une assistance intégrée, basée sur l'implication du citoyen et un maillage sécuritaire "humanisé" pour endiguer la violence urbaine. La lutte contre la violence, particulièrement dans cette immense concentration urbaine, dépassant les 370.000 habitants, fait partie, en effet, des préoccupations majeures des services de sécurité qui oeuvrent à y instaurer une couverture sécuritaire privilégiant le contact permanent avec les citoyens, d'où son approche "humanisée". Ainsi, cette approche, mise en £uvre à Ali Mendjeli, a été élaboré selon un planning impliquant directement le policier et le citoyen dans le cadre d'un partenariat social servant de rempart contre les actes de violence et d'agressivité, a souligné, à ce propos, le chef de sûreté de wilaya, M. Abdelkrim Ouabri. L'objectif, selon le responsable, est de doter la ville Ali Mendjeli de 12 sûretés urbaines, dont six (6) sont déjà opérationnelles, s'inscrivant dans le cadre des missions d'accompagnement du processus de développement de ce méga centre urbain. Il s'agit là d'un indice d'évolution citoyenne dont les habitants de l'UV 14 ont fait montre à la faveur d'une véritable prise de conscience consolidée par les supports de communication et de dialogue mis en place par les institutions de l'Etat, a-t-on indiqué. Par ailleurs, le pôle urbain d'Ali Mendjeli a été renforcé, entre mars et juillet 2017, par quatre (4) nouvelles sûretés urbaines en plus de deux (2) structures similaires déjà existantes, a-t-on rappelé, faisant part de la création d'une brigade mobile de police judiciaire (BMPJ) et une autre de recherche et d'investigation. Le maillage de l'ensemble de cette ville avec la construction d'un nombre conséquent de structures dédiées à la sécurité urbaine, restera toutefois insuffisant si des opérations de "récupération des terrains vagues'' n'étaient pas lancées, a estimé Nora Bilak, professeur en sciences humaines et sociales à l'université Constantine 2. La violence dans les milieux urbains, et particulièrement dans les villes nouvelles, est souvent favorisée par l'existence d'assiettes vides que les jeunes exploitent pour s'adonner à des actes de criminalité en tout genre, a fait savoir la même spécialiste qui a insisté sur le rôle prépondérant de la famille dans la prévention de ce phénomène. La lutte contre la violence, particulièrement dans cette immense concentration urbaine, dépassant les 370.000 habitants, fait partie, en effet, des préoccupations majeures des services de sécurité qui oeuvrent à y instaurer une couverture sécuritaire privilégiant le contact permanent avec les citoyens, d'où son approche "humanisée". Ainsi, cette approche, mise en £uvre à Ali Mendjeli, a été élaboré selon un planning impliquant directement le policier et le citoyen dans le cadre d'un partenariat social servant de rempart contre les actes de violence et d'agressivité, a souligné, à ce propos, le chef de sûreté de wilaya, M. Abdelkrim Ouabri. L'objectif, selon le responsable, est de doter la ville Ali Mendjeli de 12 sûretés urbaines, dont six (6) sont déjà opérationnelles, s'inscrivant dans le cadre des missions d'accompagnement du processus de développement de ce méga centre urbain. Il s'agit là d'un indice d'évolution citoyenne dont les habitants de l'UV 14 ont fait montre à la faveur d'une véritable prise de conscience consolidée par les supports de communication et de dialogue mis en place par les institutions de l'Etat, a-t-on indiqué. Par ailleurs, le pôle urbain d'Ali Mendjeli a été renforcé, entre mars et juillet 2017, par quatre (4) nouvelles sûretés urbaines en plus de deux (2) structures similaires déjà existantes, a-t-on rappelé, faisant part de la création d'une brigade mobile de police judiciaire (BMPJ) et une autre de recherche et d'investigation. Le maillage de l'ensemble de cette ville avec la construction d'un nombre conséquent de structures dédiées à la sécurité urbaine, restera toutefois insuffisant si des opérations de "récupération des terrains vagues'' n'étaient pas lancées, a estimé Nora Bilak, professeur en sciences humaines et sociales à l'université Constantine 2. La violence dans les milieux urbains, et particulièrement dans les villes nouvelles, est souvent favorisée par l'existence d'assiettes vides que les jeunes exploitent pour s'adonner à des actes de criminalité en tout genre, a fait savoir la même spécialiste qui a insisté sur le rôle prépondérant de la famille dans la prévention de ce phénomène.