Je viens d'émerger d'un huis clos dans lequel Zohra Drif m'a enfermée durant 600 pages(1).
Pendant longtemps, son livre est resté fermé, mais sa photo à la une m'hypnotisait. Elle était la scène du lever de rideau qui nous annonçait d'emblée que (...)
Pendant longtemps, son livre est resté fermé, mais sa photo à la une m'hypnotisait. Elle était la scène du lever de rideau qui nous annonçait d'emblée que l'histoire allait mal se terminer. Que c'était une tragédie. Qu'il y aurait beaucoup de larmes (...)
Je ne vais pas vous parler directement de Frantz Fanon. D'autres, qui l'ont connu personnellement, l'ont fait ou le feront mieux que moi.
Mais il y a une autre façon d'honorer Fanon : penser dans la direction que son œuvre nous indique, et, après (...)
Mais il y a une autre façon d'honorer Fanon : penser dans la direction que son œuvre nous indique, et, après celles de l'époque coloniale, analyser et dénoncer un certain nombre d'aliénations contemporaines, telles qu'elles se manifestent dans nos (...)