Le 1er novembre 1954, j'avais 16 ans, je venais de reprendre ma vie de lycéen, comme interne, dans un collège à Orléans, coupé du monde extérieur. Les médias ne jouaient pas le rôle d'aujourd'hui. Et puis, en Algérie, il ne s'agissait que de (...)
Mais peu à peu, avec l'allongement du service militaire, le rappel des réservistes, pour les jeunes de 20 ans, la perspective d'aller en Algérie devenait une hantise. J'ai tenté de retarder mon départ, en m'inscrivant à la faculté pour obtenir un (...)