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L'Algérie n'est pas obligée de revivre ce qu'elle a vécu, il y a des décennies Bouteflika à ceux qui s'interrogent sur le cas Algérie dans les changements
Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika a critiqué des personnes et associations qui haussent le ton à chaque fois que leur poids sur la scène politique se réduit. Il a appelé les algériens à redonner la crédibilité aux partis politiques en les considérant en tant que tel. Le président Bouteflika a clairement affiché son opposition à la création de nouveaux partis politiques depuis son arrivée au pouvoir, lorsqu'il a déclaré : « si la démocratie signifiait le partis écrans, qu'ils montrent leur efficacité par voie des élections ». Le président de la République a insinué, dans son discours, que les réformes qu'il propose à la Nation, c'est le maximum qu'il puisse apporter aux algériens. Il a appelé, dans le même contexte, à ne pas prendre les démocraties occidentales pour exemple que l'Algérie est sensée suivre. Avant d'ajouter : « notre peuple n'accepte que ce qu'il réalise personnellement », un message claire adressé à ceux qui s'interrogent pourquoi l'Algérie a fait exception à la série de changements que le monde arabe a connue. Des voix se sont élevées et se sont demandé pourquoi l'Algérie a été épargnée…l'Algérie est influencée par ce qui se passe autour d'elle et a une influence sur lui. Cependant, l'Algérie n'est pas obligée à revivre ce qu'elle a vécu, il y a des années et décennies, faisant allusion à la révolution démocratique que l'Algérie a déclenchée en 1988, message véhiculé dans le discours officiel.