A la demande du chef suprême des forces armées, M. Abdelaziz Bouteflika, l'Etat Major de l'Armée Nationale Populaire a formé deux commissions composées d'experts en questions sécuritaires et d'officiers du renseignement afin d'avaleur la situation militaire en Libye et son impact sur l'Algérie, suite aux quantités d'armes volées des dépôts d'armement de l'Armée Libyenne, qui ont fini dans le Sahara et dans le Sahel. Cette commission sera chargée d'évaluer la quantité d'armes volée des casernes de l'armée régulière libyenne, qui sera certainement vendue au marché noir à des terroristes et trafiquants d'armes au Sahel. Cette décision coïncide avec l'effort de plusieurs pays du Sahel d'empêcher que ces armes très sophistiquées ne finissent entre les mains des terroristes, en particulier les missiles SAM7, qui est un missile surface-air de fabrication russe d'une portée de 3700m et qui peut atteindre une cible à 1500m d'altitude. Des sources militaires occidentales estiment que le régime libyen possède une quantité considérable de ce genre de missiles, alors qu'une source bien informée a révélé à El Khabar que les services de sécurité de pays occidentaux font dans la désinformation sur ce qui se passe sur la scène de guerre afin de prolonger la durée de cette guerre, afin de bénéficier d'avantage de marchés de reconstruction dès la fin de cette dernière.