Communiqué : Coupures d'électricité aux Eucalyptus Sonelgaz informe son aimable clientèle que la distribution de l'énergie électrique sera interrompue aujourd'hui de 9 h à 16 h. La coupure concernera les quartiers suivants : cités 400 Logts et 200 Logts Cherarba, Djahiri, Haouch Hafiz, Cherarba, Lot Menasria, Château-Rouge, Haï Mebarki, Haouch Nououi, ancienne Cherarba, Lot Mahieddine, Cherarba, Haï Fodil Bey Cherarba. Motif : entretien poste DP MT. Pour toutes informations complémentaires, veuillez appeler le 021 52 71 46. Alger Est : Coupures d'eau La Société des eaux et de l'assainissement d'Alger (Seal) informe sa clientèle que suite à des travaux de maintenance sur ses installations de production, des perturbations dans l'alimentation en eau potable seront ressenties durant les journées d'aujourd'hui et de demain dans les communes de Bordj El Bahri, El Marsa, Bordj El Kiffan (localité de Dergana), Aïn Taya, Heuraoua. Seaal met à disposition le nouveau numéro de son Centre d'accueil téléphonique opérationnel (CATO), 1594, pour toutes informations utiles. Baraki : La volaille trop chère Le poulet est cédé à 300 DA et la dinde à 400 dans les marchés de Baraki. Au marché central de cette ville, la viande rouge a cédé la place à la viande blanche depuis les dernières pluies qui se sont abattues sur toute la Mitidja. Les éleveurs se disent acculés par la cherté des contraintes de l'élevage. La rareté des aliments et les risques d'épidémie ont été aggravés par les intempéries. « Je fais en sorte de sauver la volaille avant que les hangars ne deviennent des cimetières », assure un jeune installé depuis 6 mois près de Raïs. Mais pourquoi les prix ne cessent d'augmenter ? A cette question les bouchers accusent les commerçants de viande blanche de faire dans la spéculation. La dinde, peu consommée auparavant, connaît une flambée des prix. Eucalyptus : Le transport de marchandises coûteux Les échanges commerciaux augmentent au niveau du marché à l'occasion de l'Aïd. Le trafic au sein de la place économique locale est expliqué par l'afflux des marchands de tous bords. Si les porteurs trouvent en cela quelques gains, les propriétaires des produits et conducteurs de camions, eux, en sont plutôt gênés. Car il n' y a pas de consensus sur le coût du transport des marchandises. Le forfait reste seul maître dans la pagaille régnant en pareilles circonstances. Certains acceptent de transporter une caisse à 100 DA, d'autres exigent plus, surtout pendant la nuit, en y incluant le facteur sécurité. Les commerçants n'ont aucune honte d à exploiter des gamins et les plus démunis en contrepartie de prix dérisoires. Les porteurs chevronnés réclament ouvertement 200 DA la caisse, tout en exigeant la limitation du trajet. Si cela est effectué en dehors de l'enceinte du marché, c'est un autre prix qui est exigé. Encore mieux, certains négocient le prix si la distance entre le dépôt et le véhicule dépasse un certain kilométrage. En l'absence d'un règlement régissant cette activité inhérente aux marchés, l'exploitation reste de mise.