La ville des alizés, Essaouira (Maroc) a réalisé un très bon score pour le 1er semestre, avec une hausse de 23% en matière de tourisme. Derrière cette embellie, les principaux marchés émetteurs européens et d'Asie. Ainsi qu'un véritable saut quantitatif au niveau de l'aérien. En quatre ans, l'aéroport d'Essaouira est passé de deux dessertes hebdomadaires en 2013 à 24 vols par semaine fin 2017. Des connexions qui ont permis une augmentation significative de ses touristes. Un bon score pour Essaouira durant le premier semestre de 2018. La ville des alizés s'en sort très bien sur le plan touristique et connaît une hausse de 23% en termes d'arrivées et de 17% en termes de nuitées. Ce bilan a été d'ailleurs présenté lors de l'assemblée générale ordinaire du Conseil provincial du tourisme (CPT) tenue récemment dans la ville. Derrière cette hausse, la croissance enregistrée au niveau des différents marchés émetteurs de touristes (France, Royaume-Uni, Allemagne, USA, Italie, Suisse, Belgique, Scandinavie) et l'engouement de nouveaux marchés prometteurs pour Essaouira, notamment asiatiques.Comme tout succès d'une destination dépend d'un développement aérien, celui de la ville des alizés a fait un grand saut. Les chiffres parlent d'eux-mêmes: l'aéroport de la ville est passé de deux vols hebdomadaires à 24 vols hebdomadaires à fin 2017, permettant désormais de connecter la destination aux villes de Londres, Paris, Lyon, Charleroi et à Casablanca, indique Yahya Laârous, secrétaire général adjoint du CPTE. In leconomiste.com