Objectif : «Le rapprochement avec la population et pour fructifier le climat de confiance qui s'est sensiblement amélioré», selon un communiqué du commandement de cette institution. La gendarmerie réaffirme par la même occasion son engagement d'être «un grand service public» et d'être à l'écoute des préoccupations légitimes de sécurité exigées par le citoyen. Selon la même source, la Gendarmerie nationale «ne se limite plus à véhiculer l'image d'une institution chargée d'appliquer les lois de la République, elle a opté pour une stratégie visant à accompagner l'action du gendarme, de l'expliquer et d'essayer de convaincre au quotidien». C'est ainsi que des efforts ont été consentis par cette institution pour informer en temps réel, faciliter l'accès aux sources d'information et permettre aux journalistes de constater, voire de communiquer, avec les enquêteurs pour pouvoir sensibiliser le citoyen. A ce titre, la gendarmerie note que chacun de ses groupements est en mesure de coordonner avec les médias régionaux et locaux ses activités entrant dans le cadre de la sécurité publique et de la police judiciaire. La gendarmerie se dit, par ailleurs, consciente de la responsabilité des gendarmes dans l'amélioration de l'image de leur institution qui est entière. C'est pourquoi, selon elle, un assainissement a été opéré au sein de la ressource humaine qui a acquis des capacités professionnelles de qualité. L'institution que commande le général-major Ahmed Boustila affirme que son choix est celui d'accompagner son développement par son ouverture sur les sciences légales par la manifestation de la vérité et la préservation des droits des citoyens.