Cette action de renforcement sécuritaire, dont l'objectif est de lutter contre le banditisme, la délinquance et autres fléaux sociaux, est matérialisée par le redoublement de vigilance et des efforts des gendarmes, «surtout au moment de la rupture du jeûne, une opportunité choisie par les délinquants pour commettre leurs méfaits». Des patrouilles à des heures tardives de la nuit sont également effectuées à travers les différents quartiers et douars relevant de la commune. «Des actions renforcées par l'installation, dans le cadre de la lutte contre le trafic de drogue et de véhicules, des barrages inopinés sur les différents axes routiers de la localité sont également au menu quotidien des gendarmes», nous dit-on. «Par rapport aux années précédentes et depuis l'installation, l'année dernière, de la brigade de Gendarmerie nationale à la cité des Béni Chougrane, la sécurité des personnes et des biens a connu une nette amélioration», s'accordent à reconnaître des citoyens de la commune. Tout en ajoutant que «les gendarmes ont pu, dans un temps record, mettre un terme à une situation d'anarchie dominée par tous les fléaux sociaux, la délinquance, l'alcoolisme, l'usage de la drogue, les vols, les agressions et gangstérisme». Selon une source sûre, plusieurs groupes de malfaiteurs qui ont semé une véritable terreur parmi les habitants ont été mis hors d'état de nuire par les éléments de la Gendarmerie nationale de cette localité de plus de 13 700 âmes.