Belkhadem, le FLN et le musée Lors de son allocution de clôture de l'université d'été de son parti, le secrétaire général du FLN a saisi l'occasion pour fustiger tous ceux qui, depuis le retour de Mohamed Boudiaf, ne cessent de réclamer «une place au musée pour le vieux parti». Récemment encore, c'est un ancien membre influent du FLN, le moudjahid Mohamed Djeghaba, qui a à son tour demandé que le FLN rejoigne le musée de l'histoire. C'est cette contribution qui semble avoir irrité fortement Abdelaziz Belkhadem, au point qu'il en parle dans son discours de clôture en des termes qu'on ne lui connaissait pas. En effet, alors qu'il venait de décliner le programme de renouvellement des organes dirigeants du parti à l'échelle des kasmas et des mouhafadhas, le SG du FLN dira : « A ceux qui prônent le rangement du FLN au musée, nous disons que ce sont eux qui sont désormais au musée, quant au FLN il ne s'est jamais aussi bien porté.» SOS d'une athlète bachelière Concilier le sport et les études n'est pas facile. La jeune athlète d'Oran, Khedidja Amour, a relevé le défi. Double médaillée (argent et bronze) aux récents Jeux arabes scolaires disputés au Liban, la jeune sprinteuse a réussi l'examen du bacavec mention bien (14,80 de moyenne). C'était juste pour réaliser son rêve d'enfance : poursuivre des études en médecine. Mais sa stupéfaction a été grande lorsqu'elle a su, à partir de Beyrouth ou elle était avec l'équipe nationale, que la nouvelle moyenne pour s'inscrire en médecine était passée de 14,50 à 15. Ainsi, elle a décidé de lancer un SOS aux ministres de la Jeunesse et des Sports et l'Enseignement supérieur afin qu'elle puisse être orientée vers la filière de médecine. «J'ai fait d'énormes sacrifices pour concilier le sport et les études avec brio, voilà qu'on m'affecte dans la section architecture.» La jeune athlète, nouvelle bachelière, voulait se spécialiser dans la médecine sportive. Des observateurs étrangers aux AGO du sport C'est la première fois dans les anales des assemblées générales extraordinaires (AGE) ou ordinaires (AGO) que des observateurs des instances internationales sont présents. Invraisemblable. Cela s'est passé jeudi, lors de l'AGO de la Fédération algérienne de cyclisme, tenue au siège du COA en présence du président du département juridique de l'UCI (un Français) et d'un Egyptien membre du bureau exécutif de la Confédération africaine de cyclisme (CAC). Ils ont assisté à cette AGO à l'invitation de la fédération algérienne. A priori, cela n'a pas été du goût du MJS, du COA et de l'Observatoire nationale du sport (ONS), vu qu'ils n'ont délégué aucun représentant à l'AGO. Autre fait marquant : la Fédération algérienne de cyclisme s'est conformée aux statuts de l'Union du cyclisme international (UCI), alors que le décret 05/405 n'est pas encore été abrogé… Des malades du CAC de Blida nous écrivent Un groupe de malades, cancéreux, du Centre anti-cancer (CAC) du CHU de Blida ont tenu à rendre un grand hommage et à témoigner de leur grand respect à tout le personnel ainsi qu'au chef de service du CAC pour leur dévouement et l'attention qu'ils portent aux personnes hospitalisées. «C'est grâce à leur comportement digne, dà un grand professionnalisme et une compétence avérée ainsi que de leur disponibillité sans faille que nous arrivons à surmonter notre mal et notre moral dans l'espoir d'une guérison, avec l'aide de Dieu.»